1. Banquière perverse (20)


    Datte: 21/12/2019, Catégories: Trash, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... dormir dans ces conditions. Pour manger, elle me donnait du pain et de l’eau que je prenais assise par terre.
    
    — Mais tu n’as pas essayé de te détacher, lui demande Jelila.
    
    — Bien sur que si, un jour, j’ai bien essayé d’enlever les menottes et comme elles n’étaient pas trop serrées, j’ai réussi à faire glisser ma main droite, avec l’aide de ma main gauche, au travers de la menotte. Alors que je tentais de faire glisser l’autre main, elle est arrivée et m’a découverte.
    
    Elle faut une pose, ses mains tremblent ; elle me serre les mains et reprend d’une voix étranglée.
    
    — Alors je lui ai hurlé pour savoir si ça allait durer longtemps. J’ai essayé de me relever pour lui envoyer un coup de poing ; mais elle a été plus rapide que moi. Elle c’est assise sur moi et m’a rattachée en me hurlant et en riant vicieusement qu’il ne me restait trois jours…à vivre… ; alors j’ai éclaté en sanglots, et elle riait. Elle me gifla avec une force ! Et me rattacha au plafond de la cave puis elle m’a fouettée partout et fort ; c’est ça les traces que j’ai.
    
    — Ah la vache, elle n’y a pas été de mains mortes ; Jelila, il faut faire quelque chose !
    
    — Oui Issam, je vais m’en occuper, promis ; Gladice, continue si tu peux.
    
    — Oui Jelila, je ne sais pas combien de jours cela a duré ; mais c’était toujours le même rituel.
    
    Le matin je suppose, car je ne voyais pas le jour et je n’avais plus de repères, elle m’interdisait de me laver et je ne pouvais pas aller aux toilettes, ni me ...
    ... laver.
    
    — C’est pour cela que le sol est si sale ! s’exclame Jelila.
    
    — Oui, c’était horrible. Donc tous les jours, elle me rattachait les bras en l’air et me pinçait les tétons à m’en faire mal, puis elle me fouettait le dos et les fesses. Mais des fois c’était pire, elle me cinglait le sexe et me mettait des pinces aux tétons ; au début je trouvais ça bien mais j’avais de plus en plus mal. Peu de temps avant que tu me découvres, alors qu’elle n’avait pas fini de m’attacher, je lui ai balancé un grand coup de pied, qui l’envoya contre le mur, en lui hurlant d’arrêter ; je n’aurais pas du. Elle m’a giflée si fort que j’en ai eu mal à la tête toute la journée, et elle m’a hurlé que j’allais le payer. Quand elle revenait, je tremblais de peur à chaque fois je pleurais et elle riait ; surtout quand elle prenait le martinet et me frappait. Elle m’a fait mal, très mal et elle riait encore et encore avec un rire vicieux et pervers. C’était toujours comme ça jusqu’à ce que tu interviennes. Depuis deux jours, elle me rabâchait sans cesse qu’elle me réservait une belle surprise et que tu serais de la fête ; elle me promettait de me découper en morceaux pour ne pas laisser de traces.
    
    Elle fait une pose, ses mains tremblent ; Jelila reste bouche bée et moi, pour la rassurer et l’accompagner à ma façon, je lui tiens les mains.
    
    — Mais elle est folle !
    
    — Oui Jelila, votre …ta fille est folle !… Elle m’a dit qu’elle allait me crever ; je lui ai demandé si elle était sérieuse, et elle ...
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