Lectures érotiques (19). Claude Sannois : « Couple » (Editions Blanche, 2005)
Datte: 22/03/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... ?
- Sûrement pas une pute, puisque vous ne me donnez pas d’argent.
- Tu as beaucoup d’esprit, constata le dominateur, mais on pourrait dire plus simplement que tu es une vicieuse.
- Oui, siffla Bénédicte, je suis une vraie petite vicieuse. Et perdant soudainement contenance, avec une montée de larmes inattendue : Renaud, pardon, il y a longtemps que tu aurais du t’en douter ! »
• Cravachée
Edward cravache Bénédicte sous les yeux de Renaud.
« Les deux premiers coups étonnèrent Renaud. Comment, ça n’était pas plus fort ? Le tourmenteur était méthodique, mesuré. Il avait le poignet souple. Il continua délicatement : un effleurage, une caresse si l’on peut dire. Le corps de Bénédicte, seins plaqués au froid du mur, ne tressautait même pas. Il n’y eut pas un gémissement, pas un « aï » de sa part. La spatule s’appliqua plusieurs fois encore, puis plus vivement, quoique sans méchanceté, à l’épiderme si joliment granulé du fessier. Au bout de quelques instants, une rougeur gagna jusqu’à ce qu’une brûlure significative fut ressentie par la captive, lui arrachant le début d’une plainte. »
• Renaud prend Bénédicte devant « le maître »
« - Voyons, reprit le mentor, descendez la culotte et enconnez-moi cette pute. (…)
Sir Edward regardait avec un intérêt bizarre.
- Ca y est, murmura Renaud après quelques ahans de délice, je suis à fond, parole, je la fous à la faire péter, je l’ai jusqu’au trognon. (…)
Contrite et toujours collée à la table, Bénédicte ...
... disciplina sa respiration, limita le crescendo de ses râles. C’est Renaud, cette fois, le gland rigoureusement enchâssé, le membre entier moulé jusque la garde dans les petites sécrétions blanches et mousseuses, qui allait n’en plus pouvoir, qui n’en pouvait plus. (…)
Acceptant la force des choses, Renaud colla l’ultime coup de boutoir dans le con de sa merveilleuse épouse. Le liquide séminal reflua aux commissures, comme d’un entonnoir engorgé. Sir Edward pressa les fesses de Bénédicte et le con déglutit de façon incongrue. (…)
- J’ai mes feux, se mit-elle à hurler, au risque d’alerter le personnel de l’hôtel. »
• Punie pour avoir joui
Successivement, pour punir Bénédicte, Edward, puis Renaud, vont lui infliger vingt coups de cravache
« Au tour de Renaud d’être le bras.
Ses coups manquaient de souplesse et de régularité. Le Maître ne put faire moins que de regretter à haute voix l’absence de « velouté ». Il préféra, cette fois, que la soumise ne comptât pas : c’est lui qui compterait. Une manière, probablement, de régulariser les coups, à plus forte raison si l’épouse de Renaud mettait son point d’honneur à ne pas desserrer les dents.
- Dix, onze, douze.
Il fut enjoint à Renaud d’aller plus doucement.
- Dix-sept.
Il avait crié :
- Pute ! En frappant.
Au dix-huitième coup, il s’écria :
- Salope !
Au dix-neuvième :
- Enculée !
Il était comme fou quand le vingtième coup tomba. »
• Comblés tous les deux
« Renaud réalisa combien ...