Drôle de promenade
Datte: 18/12/2019,
Catégories:
fhh,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
Auteur: Pierre Favric, Source: Revebebe
... d’amour que de bonheur.
Et puis plus rien. Bénédicte, inerte dans mes bras, reprend son souffle. Yannick se lève et se rue vers l’échelle, murmurant :
— Ne bougez pas… Je reviens !
Je suis, dans ces moments où elle s’abandonne devant moi en présence d’un autre, comme un petit garçon timide, émerveillé. Plus encore que jamais je ressens pour elle cette immense vague de tendresse, tant devant le plaisir qu’elle me procure que devant la confiance qu’elle met en moi. À demi-allongé sur elle, je la couvre de baisers, jouant du bout des doigts sur son sexe trempé, son bouton tendu.
Soudain je la sens arrachée à mes bras. Violemment, elle glisse sur la paille, comme happée par une force brutale. Yannick la tire par les pieds. Je ne l’ai pas entendu revenir. Il est à genoux sur la paille, nu, le sexe dressé, immense, énorme, congestionné, emprisonné dans un latex translucide.
Il saisit Béné sous les genoux, lui ouvre les jambes, l’attire encore à lui, lui soulevant les fesses du sol, jusqu’à faire buter sa vulve contre son chibre. Puis sans la poser, la maintenant ouverte par une jambe, il saisit sa queue, la guide vers l’entrée de la grotte et d’une poussée la pénètre de quelques centimètres.
Elle se cambre, hurle sous l’intromission, noue ses jambes autour de la taille de son amant, s’ouvre encore sous la phénoménale poussée du mandrin qui la perfore.
Statufié, je vois l’énorme braquemart disparaître dans le ventre de ma compagne, les poils noirs du pubis du ...
... garçon se mêler à la courte toison brune de Béné.
Les yeux chavirés de Bénédicte croisent mon regard, mais je ne sais pas si elle me voit. La voix rauque de Yannick résonne comme un coup de tonnerre :
— Tu sais que tu m’as excité à mort en montant l’échelle et en me laissant reluquer ton petit cul. Et j’ai bien vu que ça te faisait mouiller ! Tu aimes ça, exciter les mecs ! Tu aimes te faire reluquer !
— Oui, j’aime ça… feule Bénédicte, soumise, vibrante.
Yannick, à genoux dans la paille, la redresse contre lui, la colle contre son torse, la maintient fermement par les hanches, fichée sur son dard, tandis qu’elle entoure de ses jambes la taille de son amant.
Il la besogne à petits mouvements du bassin, comme pour goûter une victoire, faire durer son plaisir.
Je reste immobile, voyeur et spectateur, le souffle court, intensément ému. Le regard de Yannick croise le mien :
— Ça lui arrive souvent, de se faire baiser par un autre avec toi ?
— Quelques fois.
— Dès que je l’ai vue, tout à l’heure, devant la maison, avec sa petite robe et ses gros seins bien découverts, j’ai eu envie de la baiser. Et toi, ma petite salope, tu te doutais bien que tu allais de faire ramoner ta jolie chatte par un bouseux !
— Oui ! se contente de feuler Bénédicte, accrochée comme une noyée au cou de son amant.
— Si tu te balades toujours avec des décolletés pareils, tu dois faire grimper tous les mecs aux rideaux. C’est quand tu as commencé à monter à l’échelle, que j’ai vu tes ...