1. Mention très bien


    Datte: 17/12/2019, Catégories: fh, hplusag, profélève, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme intermast, Oral pénétratio, fsodo, conte, f+prof, Auteur: Aline Issiée, Source: Revebebe

    ... l’appelait Henriette, car elle savait donner l’illusion aux hommes d’avoir un « os » quand ils bandaient, et tu sais qu’Henri IV, jusqu’à un âge fort avancé, a cru lui aussi posséder cette faculté. Et toi, Ludivine, tu fais exactement le même effet qu’Henriette. Sauf que notre époque est beaucoup trop aveugle, et imbécile, pour s’en apercevoir. À part certains qui ont la chance d’y voir plus clair, comme ton serviteur, car je suis ton serviteur, Henriette-Ludivine !
    — Non, Monseigneur, c’est moi qui suis votre servante !
    — L’es-tu vraiment ?
    
    Je me sentis de nouveau si émue que je sentais que tout mon corps réagissait. Comme si j’avais enfin trouvé ma vraie place – et j’avais parfaitement compris ce que Jacques désirait réellement, et je le désirais aussi. En souriant, je me suis donc relevée du sofa, et j’ai cherché, dans la grande armoire de la chambre, ce que je savais y trouver : Jacques m’attendait encore que je revenais vers lui, habillée exactement comme une libertine. Un « panier » soutenait un jupon, recouvert lui aussi d’une jupe. Un corset, laissant les pointes de mes seins visibles, les soutenait et semblait les offrir aux mains qui voudraient bien les caresser. Ma coiffure comportait une sorte de bonnet, qui contenait fort mal l’ensemble de ma chevelure. Des bas blancs, s’arrêtant aux genoux, complétaient l’ensemble. Et toute ma silhouette, ronde et à la taille exiguë, mais aux hanches larges, semblait faite pour cette sorte d’habillement…
    
    Jacques me ...
    ... laissa faire, et je pris exactement la pose d’une des gravures, m’allongeant sur le ventre, parmi les coussins du sofa, et regardant Jacques de côté. Et ce fut à l’aide d’une badine semblable à celle du dessin qu’il releva mes jupes et mes jupons, avant de délacer mon panier et enfin de couvrir mes fesses et mes cuisses de baisers d’autant plus ardents qu’il n’hésitait pas à recourir au vocabulaire du temps :
    
    — Bougresse, voilà bien le plus beau temple du plaisir qu’on puisse offrir, et quelle que soit la porte que je m’en vais t’ouvrir, la plus petite ou celle qui, béante, m’ouvre le chemin de ta volupté, elle sera bien la plus délicieuse…
    
    J’adorais cette manière de parler, et je m’offrais le plus complètement possible : il commença à m’enculer, toujours en parlant comme un grand libertin, mais sauta, juste avant la fin, pour m’enfoncer son pieu dans mon con, en me faisant jouir ainsi coup sur coup.
    
    Après ce premier tableau, nous parcourûmes, Jacques et moi, presque toutes les images des Mémoires d’Henriette, sauf celles qui concernaient d’autres partenaires. Mon clitoris était si excité, soit par les doigts qui me « polluaient », comme disait Jacques, soit par la badine qu’il promenait parfois tout au long de mon corps, soit par la vue de son membre à lui, que je ne cessais de prendre en bouche, puis de le ressortir pour le caresser, puis de le remettre à l’entrée de mon con ou de mon cul, pour avoir le plaisir de le sentir rentrer d’une seule et solide poussée, que ...
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