Un étrange journal intime
Datte: 13/12/2019,
Catégories:
ffh,
nympho,
hsoumis,
contrainte,
noculotte,
Oral
pénétratio,
hsodo,
journal,
fantastiq,
Auteur: Rain, Source: Revebebe
... roulement du r sur le mot trique ne fit qu’accroître mon excitation et je me contentai de répondre tout penaud :
— Oui, mais c’est quand même gênant.
— C’est peut-être gênant pour toi, dit Vanessa. Mais sache que cela est très flatteur pour moi !
Elles partirent alors dans un fou rire qui me contamina bien vite. Alors que nous étions tous les trois pliés de rire, Vanessa posa sa main sur mon épaule et Sophia posa la sienne sur mon genou. Mon épaule ne transmettait pas trop de sensations tactiles, mais mon genou… La main de l’Ukrainienne était douce et chaude. Et surtout ! Elle se trouvait à peine à un ou deux centimètres de mon pénis. Je pris alors la décision de me lever et de me rendre aux toilettes, prétextant une très forte envie d’uriner.
Qu’elle ne fut pas ma surprise lorsque j’ouvris la porte des toilettes pour découvrir face à celle-ci un poster immense d’environ 1,50 m de hauteur pour 80 cm de large qui représentait Vanessa couchée en bout d’une longue table, jambes relevées et amplement écartées, au milieu desquelles la tête de Sophia mimait un cunnilingus. Celui-ci était peut-être même réel, la photographie laissait planait le doute. Moi qui pensais calmer mes ardeurs dans les toilettes ! C’était foutu ! De nombreuses visions lubriques assaillirent mon esprit et il m’était très difficile d’en faire abstraction. Je m’assis sur les toilettes, tournant le dos au poster, espérant que cela réfrénerait mon érection. Mais la tentation de regarder le poster ...
... était trop grande. Bien vite, sans que mon cerveau ne le commande, mon cou pivota et mes yeux détaillèrent à nouveau la grande photo couleur. Sophia avait été photographiée de dos, à genoux, ses fesses fendues par un string bleu duquel débordaient d’épaisses lèvres génitales. Je la reconnus grâce à ses tresses indiennes et sa peau claire. Quant à Vanessa, elle était parfaitement reconnaissable puisque sa tête s’inclinait sur la droite et paraissait chercher l’objectif. Je contemplai un peu plus le poster et ressortis des toilettes encore plus excité que quand j’y étais entré.
Quand je poussai la porte du salon que j’avais laissée entrebâillée, je surpris mes voisines qui s’embrassaient. Elles remarquèrent ma présence mais n’en furent pas le moins du monde embarrassées. Sophia avait les jambes écartées et mes yeux glissèrent sur son entrejambe. Cette fois-ci j’étais certain qu’elle ne portait pas de culotte, je distinguai même ses grosses lèvres (je pense que c’était les plus grosses que j’aie jamais vues) et le bas de ses fesses. Ces filles me troublaient et me décevaient. Elles n’étaient pas que de simple coloc, elles étaient amantes. Ma déception devait être palpable parce qu’elles me proposèrent, alors que j’allais m’enfoncer dans le fauteuil, de venir m’asseoir entre elles et déposèrent l’album photo sur mes genoux.
Ma déception se mua en colère. J’étais convaincu qu’elles se jouaient de moi. Elles m’allumaient et ensuite me démontraient que je n’avais pas la moindre ...