Un étrange journal intime
Datte: 13/12/2019,
Catégories:
ffh,
nympho,
hsoumis,
contrainte,
noculotte,
Oral
pénétratio,
hsodo,
journal,
fantastiq,
Auteur: Rain, Source: Revebebe
... chance de conclure comme le pauvre Jean-Claude Dusse dans la série Les Bronzés. Je masquai ma rage en essayant d’afficher un air dépité et rouvris le book de Vanessa. Les photographies dégageaient un érotisme de plus en plus torride au fil des pages et ma verge fit encore des siennes. Je venais de siffler deux verres cul sec et Sophia m’avait accompagné. J’avais l’intime conviction que son regard se faisait aguicheur, qu’il me détaillait avec un désir palpable. La salope ! Pensai-je, si elle croît que je vais entrer dans son jeu, elle peut se fourrer le doigt dans… c’est dans ma tête que j’entendis la voix slave de Sophia terminer ma phrase par le groupe nominal« la chatte ». Cela me fit l’effet d’un coup de massue. J’étais à nouveau excité, mais aussi effrayé. Elle communiquait par télépathie ! Tu as un petit peu trop bu, mon vieux, me dis-je pour me rassurer mais, voilà que j’entendis au centre de mon crâne un rire sonore qui incarnait la malveillance. La frousse me saisit à la gorge et mon excitation retomba aussitôt. J’étais terrifié ! Je me retrouvais dans une situation délirante, paranormale. Ou bien étais-ce moi qui perdait la boule ?
J’avais envie de me lever et de rentrer chez moi. Je ne maîtrisais plus rien. Je cherchais un prétexte pour quitter cet appartement quand Sophia posa sa main sur mon aine et la fit coulisser vers mon entrejambe. Sa main était plaquée sur mes bourses, immobile. Sa chaleur raviva rondement mon désir et mon phallus fit une bosse sur ...
... ma cuisse. Vanessa me prit alors le livre des mains et sortit du salon pour revenir, à peine une minute plus tard, avec un reflex numérique équipé d’un objectif impressionnant par sa taille. Sophia se leva quand Vanessa quitta le salon et alla s’asseoir dans le fauteuil face à moi. Son regard bleu pénétra le mien une dizaine de secondes avant qu’elle ouvre grand les jambes pour me dévoiler son intimité. Sa chatte était lisse, avec des lèvres proéminentes et un clitoris déjà apparent. Et déjà gros ! Énorme même !
Avec une célérité impressionnante, elle fourra son index et son majeur dans sa fente, les ressortit aussitôt, et les suça du bout des lèvres en me fixant droit dans les yeux. Je n’avais qu’une envie ! Je voulais passer par-dessus la table basse qui nous séparait et la prendre sans préliminaire. Elle faisait ressortir la bestialité qui était en moi ! Mais déjà, elle se relevait ajustait sa mini jupe en jean et venait s’asseoir à mes côtés comme si rien ne s’était passé. Et j’en vins même à douter de ce que j’avais vu ! Peut-être avais-je halluciné ? Peut-être m’avaient-elles même drogué ? On entend souvent des histoires de drogue du violeur, pourquoi serait-ce toujours les femmes les victimes ? Violé par ces deux créatures, songeai-je, ne devrait pas être un traumatisme. Je devrais m’en remettre. Ce fut à cet instant que la voix de Sophia entra à nouveau dans ma tête :
« Ce n’est pas sûr que tu en réchappes vivant », siffla-t-elle avant de partir dans un rire ...