1. Un étrange journal intime


    Datte: 13/12/2019, Catégories: ffh, nympho, hsoumis, contrainte, noculotte, Oral pénétratio, hsodo, journal, fantastiq, Auteur: Rain, Source: Revebebe

    Mardi 26 août :
    
    Cela fait maintenant deux jours que je suis prisonnier ! Leur prisonnier ! Ce qui m’est arrivé est hallucinant ! Si quelqu’un m’avait raconté une telle histoire, je ne l’aurais évidemment pas cru. Mais, si quelqu’un trouve un jour ce cahier, je le prie de croire que tout ce qui est relaté ici est vrai. J’ai peur ! Terrorisé me semble plus approprié. Peut-être que je n’en ressortirai pas vivant ! Je les entends revenir, je dois cesser d’écrire et dissimuler mon journal.
    
    Mercredi 27 août :
    
    Je viens de m’apercevoir que ce que j’ai écrit précédemment est confus. Mais je suis moi même dans une confusion indescriptible ! Elles n’ont pas été tendres avec moi ! Je vais donc commencer par le début afin que le lecteur (et j’espère qu’il y en aura un) puisse réaliser ce qu’il m’est arrivé. Tout a commencé le dimanche 23 août. Ce jour restera à jamais gravé dans ma mémoire. Mais commençons par le début, pour une fois que j’ai du temps. Je devrais être tranquille une bonne partie de la journée.
    
    Je venais d’aménager dans mon nouvel appartement situé au troisième étage d’une vieille bâtisse en banlieue marseillaise. Mon salon était toujours encombré d’innombrables cartons que j’avais eu la flemme de déballer, et je les regardais, en caleçon, vautré sur le canapé. Quelle idée de déménager en plein mois d’août ? Pensai-je. À Marseille qui plus est !
    
    La température avoisinait les quarante degrés et je passais mon temps en sous-vêtement dans mon salon, à ne ...
    ... rien faire, la tête collée dans un ventilateur qui commençait à montrer des signes de fatigue. Je transpirais à grosses gouttes, réfléchissant à ma vie d’antan. Je veux dire celle que je menais quelques mois auparavant dans ma campagne natale ! Un petit village, dans l’Aveyron. Là où j’avais rencontré mon plus grand amour qui m’avait quitté en juin. Pourquoi ? Cela n’a plus d’importance au moment où j’écris ces lignes.
    
    Mes voisins étaient invisibles. Je ne croisais jamais personne quand je décidais d’aller me promener. Je n’entendais jamais de bruit, ni de musique et, à en juger par les prénoms sur les boîtes à lettres, je fus rapidement convaincu que mes voisins étaient âgés. Pourtant un samedi après-midi où je descendis faire quelques courses à l’épicerie du coin, je fus agréablement surpris, à mon retour, d’apercevoir deux charmantes demoiselles qui montaient les escaliers devant moi. Deux brunes aux fesses moulées dans un petit short en coton blanc pour celle qui avait les cheveux les plus longs et un short en jean extrêmement court (probablement fabriqué maison, me dis-je) pour celle qui avait deux tresses dans les cheveux, un peu comme les indiennes dans les westerns.
    
    Je les suivis à distance, mon regard rivé sur leur fessier qui se trémoussait. Elles avaient vraiment des culs appétissants et j’en salivais. Un instant je me concentrai même sur celle qui avait le short blanc en espérant déceler la ficelle d’un string en son centre. Les masturbations auxquelles je ...
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