Un étrange journal intime
Datte: 13/12/2019,
Catégories:
ffh,
nympho,
hsoumis,
contrainte,
noculotte,
Oral
pénétratio,
hsodo,
journal,
fantastiq,
Auteur: Rain, Source: Revebebe
... beaucoup plu !
Je voulais répondre « à moi aussi », mais m’abstins.
— Tu es intéressé par la photo ? Voulut savoir Vanessa.
— Je ne suis qu’un amateur. Mais avec des modèles comme vous, je pense que je deviendrais vite un grand passionné !
— Si tu veux, je peux te montrer mon book, proposa Vanessa.
— Avec joie ! Déclarai-je en me fendant d’un très large sourire.
Vanessa se leva, sortit du salon et ne revint que deux ou trois minutes plus tard. Pendant ce temps, Sophia et moi échangeâmes quelques banalités, alors que mon regard allait de la photo au-dessus du sofa, à la poitrine de l’Ukrainienne qui me faisait beaucoup d’effet. Elle attrapa une nouvelle fois la bouteille de vodka et remplit nos verres. Je commençais à ressentir les effets de l’alcool et avais la tête lourde et cotonneuse. Au moment où je portais le verre à mes lèvres, elle me proposa de venir s’asseoir à côté d’elle. Je ne me fis pas prier et allai poser mes fesses à côté des siennes. Lorsque je fus assis, Vanessa réapparut dans l’encadrement de la porte, un gros livre noir dans les mains. Elle vint s’asseoir aussi à côté de moi, de l’autre côté. J’étais au milieu de ces splendides créatures et, pour être franc, je me sentais un petit peu mal à l’aise. Mais l’alcool aidant, cette sensation disparut rapidement.
L’album photo était très excitant et après avoir parcouru à peine un quart de celui-ci, mon sexe se raidit. Sur la plupart des photographies, Vanessa exhibait sa plastique de rêve soit ...
... dans des décors somptueux, soit dans des espaces naturels dont la beauté était magnifiée par la nudité du modèle adoptant maintes poses lascives et aguicheuses. La plupart étaient en noir et blanc et quelques-unes en couleurs. Il n’y avait aucune vulgarité dans les clichés qu’avait pris le photographe. On ne voyait que ses seins et ses fesses, et parfois, le sommet de son pubis lisse. Cependant les poses étaient toutes chargées d’une très grande synergie érotique qui commençait à exciter mes sens. Quand je sentis mon sexe commencer à se mouvoir, je décidai de poser l’album photo sur mes genoux afin de dissimuler mon érection naissante.
Mes deux voisines observaient les photos en même temps que moi, et leurs épaules frôlaient les miennes, tandis que de subtils parfums s’échappaient de leurs cheveux et de leur peau. À un moment donné, je tombai sur un cliché sur lequel Vanessa, enduite d’une huile grasse qui faisait luire la totalité de son corps, s’exposait au soleil sur une plage, les jambes légèrement entrouvertes laissant deviner les lèvres génitales. Je ne sais pas pourquoi mais cette photographie m’excita et ma queue prit tout son volume, ce qui fit légèrement bouger le book de Vanessa. Elles s’en aperçurent et cela les fit rire. Je ne partageais évidemment pas les mêmes émotions et je sentis mon visage devenir chaud et rouge. Sophia brisa la glace :
— Ne t’inquiète pas, me rassura-t-elle. Tous les hommes qui ont vu les photos de Vanessa ont eu la trique.
Le ...