1. Un étrange journal intime


    Datte: 13/12/2019, Catégories: ffh, nympho, hsoumis, contrainte, noculotte, Oral pénétratio, hsodo, journal, fantastiq, Auteur: Rain, Source: Revebebe

    ... venir me dévorer. Je tournais en rond dans la chambre, respirant profondément pour recouvrer la raison. Quand je fus plus apaisé, j’essayai de me rendormir. Sans succès ! Je passai le restant de la nuit à tenter de trouver un moyen de m’échapper d’ici. Mais je désespérais. Aucun moyen de quitter cette chambre pendant la journée. Elle n’avait qu’une fenêtre condamnée et la porte en chêne de la pièce, toujours verrouillée par les deux salopes, ne pouvait être enfoncée quand elles s’absentaient en journée. J’aurais pu essayer de casser un carreau dans le salon mais n’avais jamais osé par peur de ce qu’elles m’auraient fait subir, étant donné que je n’étais à cet endroit qu’en leur présence. Je pourrais sauter par la fenêtre, me dis-je. On est au troisième étage, mais à choisir, je préfère finir écrasé sur le trottoir que bouffé par ces deux harpies.
    
    Le lendemain (le jeudi), elles ne vinrent pas me voir et je restai jusqu’au soir à me demander s’il ne serait pas mieux de mettre fin à mes jours. Je pourrais effectivement traverser la fenêtre de la cuisine et aller m’écraser une dizaine de mètres plus bas. Le temps qu’elles réagissent, mon corps entamerait déjà sa chute libre. Mais le soir je ne les vis pas. Je souhaitais qu’elles aient eu un accident. Écrasées par un poids-lourd, voilà ce qui m’aurait plu. Je souriais à cette pensée quand quelqu’un ouvrit la porte de ma chambre. C’était Sophia qui portait juste une paire de bas résille et un T-shirt blanc. Je m’attendais à ce ...
    ... qu’elle vienne coller son sexe sur mes lèvres. J’étais décidé à la mordre jusqu’au sang pour voir ce qu’il se passerait. Mais mes espoirs furent brisés quand elle me proposa de venir me restaurer. C’était peut-être le moment de me jeter par la fenêtre.
    
    Arrivé dans la cuisine je me mis d’abord à manger. Le dernier repas du condamné, me fis-je comme réflexion, avant d’avaler un plat de pâtes (encore des pâtes), trop cuites. J’essayais de trouver le moment opportun pour me lever et me ruer vers la fenêtre quand la voix caverneuse de Sophia fit encore irruption dans ma tête :
    
    « Tu ne crois pas que tu vas t’en tirer aussi facilement. Même ta mort, c’est nous qui décidons quand elle aura lieu. Tu n’as aucun droit et encore moins de pouvoir ici. Tu es notre chose. Mais plus pour longtemps. »
    
    — Vous n’avez qu’à me buter tout de suite, réclamai-je à voix haute. De toute façon, vous ne tirerez plus rien de moi.
    
    Les deux partirent alors d’un rire gras et hideux qui me donne encore la chair de poule au moment où j’écris ces lignes. Ce fut Vanessa qui continua de parler :
    
    — Ce n’est pas aujourd’hui que tu vas crever. Sois patient. Mais tu peux être certain que dimanche sera ton dernier jour : le jour du seigneur comme certains d’entre vous l’appellent. Quelle triste ironie, tu ne trouves pas ?
    — Je n’en ai plus rien à foutre. Ce sera une délivrance.
    
    Elles ne répondirent rien et se contentèrent de se regarder en se souriant avant d’approcher leur tête pour s’embrasser à ...