1. Un étrange journal intime


    Datte: 13/12/2019, Catégories: ffh, nympho, hsoumis, contrainte, noculotte, Oral pénétratio, hsodo, journal, fantastiq, Auteur: Rain, Source: Revebebe

    ... l’effroyable vision qui m’avait fait perdre connaissance me revint à l’esprit comme un coup de massue assené sur le nez. Un instant je me dis que, peut-être, cela n’était qu’un cauchemar, mais je sais aujourd’hui que ce n’était pas le cas.
    
    Résigné, je me rendis dans la cuisine où elles m’attendaient. Vanessa portait une robe moulante noire qui mettait en valeur ses magnifiques courbes tandis que Sophia, nue, revêtait juste une paire de cuissardes bleues en vinyle et tenait une cravache dans sa main droite. C’était de fieffées salopes, mais elles étaient vraiment canons. J’avais néanmoins du mal à détacher mon regard de la cravache et je sentais que j’allais passer un sale quart d’heure.
    
    En réalité, je ne reçus que deux coups de cravache ce soir-là. Je fus contraint de lécher l’entrejambe de l’une pendant que l’autre enfourchait ma queue. Je leur ai bouffé le minou toute la nuit et j’ai reçu des coups de cravache lorsque je ne parvenais plus à bander. Mon sexe et mes couilles me brûlaient et j’avais l’impression qu’une main invisible les malmenait en continu. À la fin, mes mâchoires étaient douloureuses et mon pénis refusait de se dresser. Voyant que la cravache n’y faisait rien, elles m’accordèrent du repos et me laissèrent aller me coucher. Mon visage sentait la foufoune à des kilomètres et je me mis au lit sans oser leur demander si je pouvais me débarbouiller. Je craignais qu’elles le prennent mal et se servent encore de ce gigantesque gode.
    
    Je m’endormis très ...
    ... vite et me réveillai quelque heures plus tard, trempé de sueurs froides. Je venais de faire le premier cauchemar. Dans ce rêve terrifiant, Sophia et Vanessa avaient l’apparence de femmes cornues, aux yeux vitreux et inexpressifs comme ceux des poissons. De grandes ailes de chauve-souris et de longues queues fourchues étaient respectivement attachées à leurs épaules et à leurs fesses. Des rangées de dents effilées pointaient de leur bouche et leur langue s’étirait d’une vingtaine de centimètres, hors de leurs lèvres de la même nuance de rouge que le sang. Elles étaient entièrement nues et se dandinaient sur une musique lugubre faite de cris de douleur, de pleurs, et de rythmes lents étranges. Au début, je les épiais. Elles se caressaient la poitrine et s’embrassaient. Mais dès qu’elles sentirent ma présence, elles se tournèrent vers moi et je vis l’horreur à l’état pur. Leur diabolique apparence me figea. Je devais être pâle comme un linceul. Leurs deux voix grondèrent au même moment dans mon esprit et elles m’annoncèrent que j’allais mourir car je n’étais plus bon à les satisfaire. Elles se jetèrent alors sur moi et Vanessa planta la première ses dents (le mot crocs conviendrait mieux) dans mon épaule gauche, déchirant la chair jusqu’à ce que ma clavicule soit apparente. Je me réveillai lorsque Sophia croquait ma carotide pour m’arracher la pomme d’Adam.
    
    Il me fallut pratiquement une demi-heure pour arriver à retrouver mon calme. J’étais paniqué, je pensais qu’elles allaient ...
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