1. Un étrange journal intime


    Datte: 13/12/2019, Catégories: ffh, nympho, hsoumis, contrainte, noculotte, Oral pénétratio, hsodo, journal, fantastiq, Auteur: Rain, Source: Revebebe

    ... s’assirent sur mon visage l’une après l’autre et je dus lécher leur entrejambe jusqu’à ce qu’elles atteignent le septième ciel. Cela ne m’excitait même plus ! Elles m’avaient tellement fait mal la vieille avec leur godemiché que je n’avais qu’une seule envie : les étrangler jusqu’à ce que leurs yeux jaillissent de leurs orbites.
    
    Pas de changement pour la suite ! Un repas de merde ! Après les pates et la pizza, voilà les cordons bleus, avec des pommes de terre en forme de lettres, celles dont raffolent les enfants. Un seul repas par jour et en plus, c’est dégueulasse, pensai-je. Néanmoins j’avalai tout ce qu’il y avait dans mon assiette et je dois dire que je me suis régalé. Il n’y avait plus que ça d’agréable : la bouffe ! Vu le peu qu’on me proposait à manger, même si cela n’était pas terrible, je dévorais avec un plaisir non dissimulé.
    
    Tout le repas, elles m’observèrent avec de la malice dans le regard. D’ailleurs je remarquai pour la première fois qu’elles ne mangeaient jamais. Pas de gâteaux pour le maudit apéro que j’aurais dû zapper, et pas de repas pris en ma compagnie. Et je ne pensais pas qu’elles mangent seules, car la vaisselle n’avait jamais été faite. Seuls mes couverts et mes assiettes étaient dans l’évier. Tout en me faisant ces réflexions, je vis le couteau avec lequel j’avais découpé les cordons bleus. Sa lame brillait sous la lumière crue du néon et sans même m’en rendre compte je m’emparai de lui et me levai.
    
    Sans réfléchir, je m’élançai sur ...
    ... Sophia, brandissant le couteau. Malheureusement, mes jambes refusèrent d’aller plus loin quand elle fit gronder une voix hideuse au sein de ma tête. Cette voix était râpeuse et n’avait rien de féminin ! C’était la voix du démon des films d’horreur. Celle de la fille dans L’Exorciste quand elle est possédée et s’adresse au prêtre en éructant des insanités. La voix qui ferait détaler le plus brave des guerriers.
    
    Et ce que je vis, devant mes yeux écarquillés, paralysa le reste de mes membres. Ses orbites étaient redevenues deux perles noires sans vie. Des crocs sortaient de la bouche de l’Ukrainienne en formant un rictus ignoble dont je rêve chaque nuit depuis. Des ailes géantes de chauve-souris étaient même sorties de son dos et s’étiraient en produisant un son mat de cartilage qui se déchire. Une queue fourchue de près d’un mètre de long fouettait les airs derrière son postérieur. Le reste de son corps était resté humain.
    
    Je lâchai le couteau, pris de panique, ma vision se brouillait et mes tempes battantes allaient fendre mon crâne. Le reste, c’est le trou noir. J’ai dû m’évanouir de frousse. Je ne me réveillai qu’une heure ou deux plus tard avec de violents maux de tête.
    
    J’étais à nouveau dans mon lit (mon tombeau, pensai-je, sentant ma gorge se nouer à cette funeste réflexion) et il me fallut presque une minute pour remarquer que les sangles n’étaient pas attachées. Je me levai donc et sortis dans la chambre en essayant de faire le moins de bruit possible quand ...
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