1. Un étrange journal intime


    Datte: 13/12/2019, Catégories: ffh, nympho, hsoumis, contrainte, noculotte, Oral pénétratio, hsodo, journal, fantastiq, Auteur: Rain, Source: Revebebe

    ... sécrétions. À moins que tu ne veuilles les goûter ?
    
    Je ne répondis rien mais ma verge le fit à ma place. Rien que le roulement du r sur le mot « Monsieur » avait produit ses effets. Ma queue se leva et, avant qu’elle ait fini de se durcir complètement, Vanessa s’y planta après avoir arraché le string sous sa mini-jupe de cuir rouge. Elle me chevaucha sur la chaise une dizaine de minutes avant de laisser la place à Sophia qui, pendant ce temps-là, nous observait en caressant son gros clitoris. Vanessa me baisait violement, ses fesses venaient se fracasser sur mes cuisses comme les vagues sur les falaises lors de tempêtes. Parfois ma queue sortait de son vagin et elle la replongeait dans la chaleur de son intimité, s’empalant jusqu’à la garde en accélérant le rythme.
    
    Quand ce fut au tour de Sophia de venir me chevaucher, je fus soulagé de voir que mes deux geôlières s’accordaient un peu de temps entre elles. Elles se dévorèrent du regard avec l’ardeur et l’intensité de complices amantes, avant de s’embrasser en se tripotant les seins et les fesses. Pendant ce temps, je pus récupérer et faire diminuer mon excitation car, il n’aurait pas fallu longtemps de chevauchée infernale pour que mon serpent crache son venin. Puis Vanessa se mit à genou entre les jambes de Sophia et passa quelques minutes à déguster ses grosses lèvres et son bouton d’amour. Sophia se cambrait sous les coups de langues et à un moment, je crus qu’elle allait défaillir de plaisir.
    
    Quand elle ...
    ... s’assit sur moi, sa chatte était trempée et sa cyprine descendait jusqu’à mes cuisses qui en étaient colmatées. Je n’avais jamais vu une fille mouiller autant et je dois avouer que cela me plut beaucoup. Mon pénis glissait en elle comme un piston dans un moteur et son ronron me fit comprendre qu’elle était dans le même état que moi. Sa chatte se liquéfiait et ma verge coulissait en elle. Ma bouche chercha à téter sa poitrine et, une fois que mes lèvres encerclèrent un de ses tétons, elle écrasa ses globes contre mon visage. Je lui bouffais littéralement le sein en faisant remuer rapidement ma langue contre ses parties molles, celles sur lesquelles la langue glisse. Vanessa avait sorti un plug anal qu’elle venait d’insérer dans l’anus de sa coloc qui soupira de plaisir quand celui-ci fut bien en place. En très peu de temps, elle hurla sa jouissance, ce qui précipita mon éjaculation. Ce lundi soir, j’ignorais qu’il m’en restait encore neuf.
    
    Je vous épargnerai les neuf autres qui eurent aussi lieu sur la chaise à laquelle j’étais ligoté. La seule chose que je dirais, c’est que lorsqu’elles me traînèrent au lit, j’étais éreinté. Mes bourses et mon sexe étaient douloureux et les six heures que j’avais passées, attaché, m’avaient aussi meurtri les poignets. Je m’endormis vite et le lendemain je restai sanglé à mon lit jusqu’en début d’après-midi.
    
    J’eus encore le droit, ou plutôt le devoir, de leur faire un cunni. Cependant, je fus soulagé qu’elles ne jouent pas avec mon pénis. En ...
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