1. Un étrange journal intime


    Datte: 13/12/2019, Catégories: ffh, nympho, hsoumis, contrainte, noculotte, Oral pénétratio, hsodo, journal, fantastiq, Auteur: Rain, Source: Revebebe

    ... pâtes avait été préparé en mon honneur. J’étais certes un prisonnier, mais un prisonnier qu’on nourrissait. Cela me contenta sur l’instant mais si j’avais su la soirée qui m’attendait, j’aurais probablement fait voler leur assiette.
    
    Elles me regardèrent avaler les pâtes sans prendre la peine de mâcher. J’avais une dalle terrible et j’aurais bien englouti une autre assiette avant qu’elles ne me conduisent au salon pour me chevaucher toute la nuit.
    
    Ce soir-là, j’ai joui plus de dix fois. Je ne pensais pas que cela soit possible mais la peur du destin qu’elles me réservaient si je n’assurais pas a permis que je puise dans des ressources dont j’ignorais l’existence.
    
    Samedi 30 août :
    
    Aujourd’hui elles ne sont pas là. Je les ai entendues parler hier quand elles sont rentrées à l’aube. Elles doivent se rendre à Marseille et m’ont laissé une baguette de pain et une boîte de pâté pour seule compagnie, enfermé dans ma chambre. L’avantage, c’est que je vais pouvoir raconter pas mal de chose. Le problème, c’est que je crois que ma fin est proche. Je les entends dans mes rêves. Elles me parlent sans cesse, envahissent mon esprit et me racontent des choses affreuses sous leur diabolique apparence. Quand je me réveille, je ne suis même plus reposé. Et le soir, elles m’épuisent avec les coïts interminables que je dois endurer, sans même avoir le droit de reprendre mon souffle. Mais essayons de respecter la chronologie afin que celui ou celle qui trouvera mon journal (j’espère ...
    ... sincèrement que quelqu’un y mettra la main dessus) comprenne ce qu’il m’est arrivé et fasse en sorte de le remettre aux autorités compétentes lesquelles, je l’espère ardemment, attraperont ces deux garces.
    
    Je passai la soirée du lundi, nu, les mains attachées dans le dos, assis sur une chaise. Vanessa et Sophia restèrent un moment à contempler mon sexe flaccide quand la voix de l’Ukrainienne résonna dans mon crâne :
    
    « Il va falloir que tu fasses mieux que ça ! Fait dresser ton petit soldat ou je t’écrase les couilles ! » Beugla-t-elle mentalement en me menaçant avec son talon aiguille droit.
    
    « Tes menaces n’aident pas beaucoup. Ce n’est pas comme ça que je vais bander. » Répondis-je en la défiant du regard.
    
    — Tu veux peut-être que le gros gode visite encore ton petit trou ? Hurla-t-elle à voix haute.
    
    À cet instant, ses yeux devinrent à nouveau noirs et inexpressifs. Cela me glaça le sang et mon corps tout entier fut parcouru de frissons. Elle se tourna alors vers Vanessa, son regard ayant retrouvé une apparence normale :
    
    — Monsieur a besoin d’être excité et moi je voudrais bien que tu me godes. Ça te plairait, petit cochon, de voir Vanessa écarter ma chatte avec le gode qu’on a utilisé pour ton cul ? M’interrogea-t-elle en me fixant de ses yeux pales. Imagine cette couleur noire qui contrasterait avec ma peau claire ! S’insinuant dans mon ventre, lentement, pour que ma moule épouse sa forme. Ensuite, je pourrais le sortir de mon entrejambe et lécher mes ...
«12...151617...24»