Un étrange journal intime
Datte: 13/12/2019,
Catégories:
ffh,
nympho,
hsoumis,
contrainte,
noculotte,
Oral
pénétratio,
hsodo,
journal,
fantastiq,
Auteur: Rain, Source: Revebebe
... revanche, elles me laissèrent prisonnier dans ce lit et quittèrent l’appartement pour le restant de la journée. Je passai donc ce long moment à cogiter. Il fallait que je trouve un moyen de m’échapper. Elles étaient folles et, en plus, elles me terrifiaient, même si je dois avouer que beaucoup d’excitation naissait de ses interminables parties de jambes en l’air. De l’excitation, mais aussi de la peur, et je me doutais bien que plus je serais leur prisonnier, plus la peur viendrait petit à petit remplacer l’excitation.
Dès leur retour, elles me détachèrent et j’eus droit à une pizza qu’elles avaient ramenée. Ce soir-là, en allant aux toilettes, je découvris un cahier (sur lequel je vous écris en ce moment même) caché sous une pile de magazine. Il ne me fallut pas longtemps pour trouver un stylo dans le même lieu que je mis dans ma poche après avoir plié le cahier et l’avoir dissimulé dans mon pantalon. De nouveau dans la cuisine, je leur demandai l’autorisation d’aller chercher un mouchoir que j’avais laissé sous l’oreiller. Je me dépêchai de cacher mes trouvailles sous le matelas et revins dans la cuisine pour manger la pizza. En cinq minutes elle était descendue au fond de mon estomac et Sophia m’intima l’ordre de me « mettre à poil. »
À contre cœur, je me déshabillai, prêt à affronter une nouvelle soirée éprouvante. Qu’allaient-elles me mijoter ce coup-ci ? Mon imagination ressassait en permanence des choses horribles qu’elles me faisaient subir et, lorsque Sophia ...
... s’agenouilla face à moi, je crus l’espace d’un instant qu’elle allait m’arracher le sexe, mais elle n’en fit rien. Elle le lécha délicatement avec beaucoup de tendresse, prenant le temps d’explorer chaque partie avec sa langue humide. Je n’y comprenais plus rien. Pourquoi autant de douceur par rapport à ce j’avais dû endurer les autres fois ? De toute façon la fellation était tellement agréable que mon esprit se mit au repos et tout mon corps se contenta d’apprécier la divine caresse. Après avoir lustré mon phallus de sa salive, elle demanda à Vanessa de la rejoindre et, ensemble, elles me firent la meilleure pipe de ma vie. Je pus même exploser dans la gorge de Sophia.
— Je vois que ton asticot faiblit. Je vais le ranimer avec ma bouche. Je veux moi aussi goûter à ton foutre, Proposa Vanessa.
Ça y est ! Ça recommence ! Me dis-je intérieurement, espérant qu’elles ne se mettraient pas en colère quand je ne pourrais plus avoir d’érection.
Mais Vanessa aspirait déjà mon sexe au fond de sa gorge qui ne tarda pas à recouvrer sa forme. Elle me pompa, sous le regard de Sophia qui s’enfonçait trois doigts dans sa fente, jusqu’à ce que je me déverse dans son gosier. Puis l’Ukrainienne déclara :
— J’en veux encore. Gicle dans ma gorge !
— Une petite pause s’impose, fis-je remarquer, en essayant de sourire.
— Pas de pause ! Sac à merde ! Quand je te demande quelque chose, tu t’exécutes sinon…
— Sinon quoi ? Répondis-je, les yeux brillants de défi.
— Je crois que tu n’as ...