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Un étrange journal intime
Datte: 13/12/2019, Catégories: ffh, nympho, hsoumis, contrainte, noculotte, Oral pénétratio, hsodo, journal, fantastiq, Auteur: Rain, Source: Revebebe
... (nettement plus imposant que ma verge.) J’étais terrifié ! Jamais mon cul n’accepterait pareil intrus ! Pourtant la queue de black factice me défonça le cul jusqu’au petit matin. J’ai dû me retenir des heures avant de pleurer de douleur et de honte, dans la chambre condamnée dans laquelle elles me sanglèrent sur un lit. Vendredi 29 août : Première soirée où je suis tranquille ! Elles sont sorties toute la nuit. Mais revenons à la première soirée passée en la terrifiante compagnie de mes deux voisines un peu spéciales. Le lendemain (lundi 24 août), je me réveillai sanglé à un lit comme un patient violent dans un hôpital psychiatrique. Une douleur persistante se répandait dans mon cul. Les salopes n’y étaient pas allées de main morte. Je comprenais maintenant que la sodomie n’était pas forcément une partie de plaisir et je réalisais surtout pourquoi la plupart des filles ne souhaitait pas que cela s’éternise. On m’avait fait le cul pendant près de trois heures et j’avais l’intime conviction que je marcherais de travers pendant quelques jours. Je suis resté des heures à contempler le plafond. L’appartement semblait vide. J’ai un instant essayé de m’extirper du lit mais la mission était impossible, alors je me suis résigné à attendre que quelqu’un vienne. Cela s’est produit en fin de journée, Sophia a toqué à ma porte avant d’entrer, comme un être civilisé qui ne m’aurait pas violé la veille avec une queue de la taille d’un barreau de chaise. Je voulais l’étrangler. ...
... Qu’elle crève cette pute ! Elle avança dans la chambre entièrement nue. J’étais saucissonné au plumard, les bras le long du corps, prisonnier des sangles. Elle grimpa sur le lit et s’assit sur ma tête en écrasant sa vulve sur mes lèvres. « Lèche-moi ! », m’ordonna-t-elle télépathiquement. « Non ! Tu n’as qu’à me tuer, je m’en cogne. »« Bouffe-moi la chatte ! Ou avec Vanessa on va s’occuper de ton cul. » Cet argument pesa dans la balance et je me mis à aspirer ses grosses lèvres. Hier, j’avais rêvé de lui bouffer la moule et maintenant que je l’avais de force dans la bouche, je ne voulais plus. Elle dégoulinait tellement que les effluves de son entrejambe me mirent en grande forme. — Monsieur bande. Qui t’a autorisé ? Dit-elle en empoignant mes bourses. Je pourrai te broyer les couilles. Mais comme tu me broutes bien, je vais être clémente et peut-être que je te sucerai si vraiment tu es doué. Je me contentai d’émettre un grognement et lapai de plus belle sa fente qui ruisselait de ses fluides sur mes lèvres. J’avais évidemment envie qu’elle me fasse une pipe. Je n’attendais même que cela. Elle n’en fit rien et se contenta d’écraser son cul sur ma tête jusqu’à ce qu’elle explose de plaisir. Puis elle quitta la chambre comme elle était venue, laissant la place à Vanessa qui vint aussi écraser son intimité sur mon visage. En début de soirée, elles me détachèrent et me laissèrent prendre une douche. Quand je fus propre, je fus surpris de constater qu’un plat de ...