1. Petits plaisirs et grand calvaire


    Datte: 11/12/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, fagée, groscul, handicap, Auteur: Badalic, Source: Revebebe

    ... C’est alors qu’elle s’est retournée et qu’elle a vu que je la reluquais. Sur le coup, elle a paru un peu surprise et quelque peu gênée. Elle a immédiatement changé de position pour que je ne puisse plus rien voir, tandis que de mon côté je répondais à ce geste prude par un sourire amusé… Tout cela ne portait guère à conséquence, j’avais tellement l’habitude de jeter un œil dès que je voyais une paire de fesses ou un bout de nichon que je n’y faisais plus vraiment attention. Alors la culotte d’une vioque, vous pensez, je n’en avais vraiment rien à cirer. Ma patronne est redescendue de son perchoir et nous avons continué à vider la pièce, sans rien dire, cet incident lui ayant cloué le bec pour le restant de la journée.
    
    Après avoir fait place nette, j’ai entrepris la démolition qui a dû prendre une quinzaine de jours. Je venais le soir après le taf et travaillais jusqu’au dîner. Nous échangions peu avec la mère Garnier, elle était peu loquace ; et moi de mon côté, je n’avais pas grand-chose à lui raconter. La benne se remplissait de tous les gravats ; un de mes amis devait passer la récupérer quand les travaux seraient terminés.
    
    Les fondations semblant vraiment très saines, j’étais déjà en train de reconstruire les murs. Le chantier avançait bien et mon employeuse était contente de voir son évolution de jour en jour. Les soirs où je travaillais, elle me chouchoutait en me concoctant de bons petits plats et, en guise de prime exceptionnelle, elle m’avait même offert les ...
    ... deux fusils de chasse dont son mari n’aurait plus besoin. Je n’avais donc pas affaire à une ingrate et ne regrettais nullement d’avoir accepté ce job.
    
    Généralement, je n’aimais pas trop aller dans la baraque et encore moins me retrouver seul dans une pièce avec le vieux. Ça me rendait nerveux et mal à l’aise de voir cette vieille épave décrépite avec ses yeux de moribond. Mais les choses changèrent du tout au tout quand madame Bertaut, l’auxiliaire de vie habituelle – une femme aussi austère que la mère Garnier – partit en vacances pour quelques jours. Elle fut remplacée par une jeunette, une petite blonde pas spécialement délurée mais dont la sensibilité épidermique ne demandait qu’à éclore. Je me mis alors de suite en chasse et, à chaque fois que je voyais cette petite mignonne, j’étais tout le temps fourré avec elle ; je lui faisais du rentre-dedans et elle ne semblait pas complètement insensible à mes avances. Certes, elle était beaucoup plus jeune que moi, mais d’autres, avant elle, étaient tombées dans mes filets.
    
    Je ne tardai pas à m’apercevoir que ce petit manège agaçait fortement la mère Garnier et qu’elle me faisait plus ou moins la tronche lorsque j’allais conter fleurette. Un jour que la belle Aline était en train de prodiguer ses soins à son mari et que j’étais, une fois de plus, en train de la draguer sec, la vieille acariâtre rentra comme une furie dans la chambre où nous nous trouvions et me sermonna d’un ton très sec :
    
    — Qu’est-ce que vous faites ...
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