1. Petits plaisirs et grand calvaire


    Datte: 11/12/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, fagée, groscul, handicap, Auteur: Badalic, Source: Revebebe

    ... encore ici, Simon ? Je ne vous paye pas pour bavasser ! Au lieu de perdre votre temps ici, rendez-vous donc utile : j’ai besoin d’aide dans la cuisine.
    
    Je l’ai suivie en maugréant. Elle avait ramené l’escabeau et comptait ranger les bocaux dans le placard du haut, ceux-là même que nous avions récupérés dans le garage et qui s’entassaient depuis des semaines, certains sur une desserte, les autres en vrac à même le sol. La vieille revêche grimpa alors sur son perchoir.
    
    — Allez, secouez-vous ! Passez-moi d’abord les haricots, ordonna-t-elle d’une voix peu gracieuse, me rappelant une vieille institutrice que j’avais en horreur lorsque j’étais gamin.
    
    Je lui tendis une à une ses conserves, servilement et sans enthousiasme. Mais je l’avais plutôt mauvaise : dire qu’elle me considérait comme un petit toutou alors que j’avais une toiture à finir et que j’entendais Aline, toute guillerette, qui chantonnait dans la pièce d’à côté… Mais la matrone me rappela une nouvelle fois à l’ordre :
    
    — Alors, ces bocaux, ça vient ? Vous me les passez ? À quoi pensez-vous ? Vous rêvez ?
    
    Elle avait changé de place pour attaquer un autre placard. Elle avait changé de position également. Et quand mes yeux se levèrent… quel spectacle ! À nouveau une très belle vue sur ses cuisseaux bien dodus, mais cette fois-ci, en plus, elle était sans culotte et ses grosses fesses blanches étaient entièrement nues. Sur le coup, j’ai failli lâcher le bocal pour me frotter les yeux ; j’avais du mal à le ...
    ... croire… J’ai ravalé ma salive. Au bocal suivant, j’ai regardé plus attentivement pour avoir confirmation : mais aucun doute, je n’avais pas rêvé, elle était bien cul nu sous sa vieille blouse défraîchie. Vingt dieux !
    
    Par la suite, à chaque passage, j’ai reluqué son fessier sans gêne, d’autant plus facilement d’ailleurs que, tout à son rangement, elle semblait ne pas faire attention à ce curieux manège. Ses cuisses épaisses, ses gros fessiers, sa touffe de poils, sa fente charnue : à force de regarder, j’avais les yeux qui sortaient presque des orbites. Car non contente de me montrer son derrière, elle me montrait maintenant sa chatte poilue sous prétexte de ranger les dernières conserves dans le placard du coin.
    
    Une fois le dernier bocal à l’abri, ma patronne redescendit de son perchoir comme si de rien n’était. Elle ne semblait avoir rien vu, rien remarqué, n’avait pas imaginé une seconde qu’elle venait de m’offrir ainsi le spectacle de sa nudité (elle devait pourtant savoir qu’elle n’avait pas de culotte !). Elle me retrouva dans un sale état.
    
    — Vous êtes vraiment bizarre aujourd’hui, mon petit Simon, reprocha-t-elle. Je crois que le mieux que vous ayez à faire, c’est de rentrer chez vous et de vous coucher, vous ne semblez pas du tout dans votre assiette.
    
    Elle n’attendit pas de savoir ce que j’en pensais ; elle me poussa fermement vers la sortie et me jeta presque dehors. Troublé par les grosses fesses nues de la vieille femme, j’ai erré dans le patelin et mes ...
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