L'île aux cochons (2)
Datte: 07/12/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Alix, Source: Xstory
... était plus animale qu’avec Fang. L’homme me montait comme un chien, sa chienne. Cette image saugrenue me fit frémir.
— Ooooh ! Je gémis.
Il me pilonna, encore et encore, donnant de grands coups de reins. C’était plus puissant et envahissant que les doigts fins de ma tendre amie. Un plaisir nerveux contracta mes entrailles. Instinctivement, je cambrais les reins pour que la bite s’enfonce plus profondément.
L’homme accéléra encore. C’était étonnamment jouissif. Ce qui me restait de dignité céda comme un barrage trop fragile sous la pression de l’eau.
— Ooooh ! Mon Diiieu !
— Vous aimez être baisée par le cul, duchesse ?
— Oooh ! Taisez-vous ! J’ai si honte !
Il me bourra encore une minute puis le corps du Philippin se tassa et trembla contre mes fesses. Il s’effondra sur moi en grognant. Je cédais sous son poids et m’écrasais sur l’herbe. Il m’immobilisa fermement et prit tout son temps pour se vider les bourses.
Mon cœur battait la chamade. Je haletais comme une chienne en chaleur alors que le sperme chaud inondait mes intestins.
Il se retira lentement. Son gland fit un « Pop ! » sonore en sortant de mon cul. C’était surréaliste et gênant.
Quelques minutes plus tard, assise nue sur l’herbe, je mâchais la dernière bouchée de viande face au Philippin dont le visage affichait un air de vainqueur.
— Promets-moi que tu ne diras rien aux autres. Ce sera notre secret.
— D’accord ! Répondit-il en me caressant les seins avec un sourire ...
... satisfait.
Mon costume végétal en ruine à la main, je marchais nue vers la plage, la raie des fesses souillée de sperme gluant.
Je m’accroupis dans l’eau fraîche, me nettoyais l’anus et fis pipi.
J’avais quelques remords, mais pas de regrets. La morale est une notion très relative lorsqu’il faut survivre sur une île déserte. Inquiète à l’idée que mon mari s’aperçoive de quelque chose, je pris le chemin de l’abri.
Au détour d’une dune, je découvris une scène si invraisemblable que je mis quelques secondes à discerner le sens de ce que je voyais. Edouard, à genoux, tenant fermement les fesses musclées de Fang, suçait son pénis avec entrain.
— Mais.. Mais qu’est-ce que vous faites ?
Surpris, mon mari sursauta et tomba en arrière, sur le sable.
— Darling ! Euh.. Je.. Vous êtes là ? Il bégaya, la mine affolée et contrite.
J’étais abasourdie. Fang, le pénis, luisant de bave, dressé à l’horizontale, me regardait en souriant comme si tout cela était naturel. Je reportais mon attention sur mon mari qui ne trouvait pas ses mots.
— Oooh ! Qu’est-ce que j’ai été idiote ! C’était tellement évident !
Réalisant soudain l’absurdité de ce mariage, les larmes me montèrent aux yeux. Jetant l’habit de feuilles, je partis en courant, me réfugier dans l’abri.
Edouard me rejoignit un quart d’heure plus tard avec quelques débris de pulpe de noix de coco. Il s’assit, tout penaud, à côté de moi et me les offrit. J’avais repris mon sang-froid et réfléchi à la situation.
Voir son ...