L'île aux cochons (2)
Datte: 07/12/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Alix, Source: Xstory
... dedans !
Rodrigo, le pénis courbe au gland pointu déjà dressé contre son ventre, regardait fixement dans ma direction, les yeux brillants.
« Il est aussi affamé que moi ! » Pensais-je bêtement.
Je réalisais que, chez ce mâle, l’impérieux besoin de monter une femelle était aussi puissant que le mien, de mordre à pleines dents dans la viande rôtie !
Chacun avait ce que l’autre désirait le plus. C’était la base même des échanges entre les peuples et des ententes cordiales. L’idée de conclure un marché me vint tout naturellement.
Aussitôt, je fus assaillie d’objections morales venant de mon autre vie, celle que j’avais avant de faire naufrage sur cette île déserte.
N’avais-je pas été violée contre mon mari par un domestique efféminé et perdu ma précieuse virginité ! Que pouvait-il m’arriver de pire ?
Déterminée à satisfaire mon désir de viande, je fis le vide dans mon esprit et agitais une main vers Rodrigo. Il hésita, découpa un morceau de viande qu’il enveloppa dans une feuille de palme puis marcha vers moi.
Le souffle court, je l’entraînais dans la petite clairière herbeuse que j’avais traversée en venant. L’homme s’arrêta à la lisière et tendit la viande vers moi en me regardant intensément. Sans dire un mot, je laissais tomber mon habit de feuilles et saisis ce qu’il m’offrait en hochant la tête avec conviction.
Le marché était conclu !
Je plantais aussitôt les dents dans la chair grillée. La graisse coula sur mon menton. Je fermais les yeux ...
... et me concentrais sur ce moment d’intense satisfaction. J’avalais avec délectation, sans presque mâcher.
D’une enjambée, le matelot passa derrière moi en riant comme un enfant. Il se positionna à genoux contre mes fesses.
— Fais-le dans mon derrière, s’il te plaît ! Je ne veux pas que tu me fasses un bébé !
Initiée par les doigts habiles de la douce Clara, la sodomie ne m’effrayait pas. De cette façon, je préservais l’essentiel de ma féminité. C’était un échange pas un rendez-vous amoureux.
— Tant mieux ! C’est ce que je préfère ! Il répondit.
Visiblement pressé de prendre son dû, il enduisit mon anus avec le gras de la viande puis guida son pénis contre mon œillet. Je frémis, mais ne me dérobais pas à exécuter ma part du contrat. Je me penchais en avant pour lui faciliter l’accès. Le gland pointu força le sphincter à s’ouvrir et entra en moi.
« Mon Dieu ! Qu’est-ce que j’étais en train de faire ! »
La honte me submergea, mais il était trop tard pour reculer. Le matelot enfonçait sa bite dans mes entrailles.
« Haut les cœurs ! »
Lorsqu’il fut bien installé, il s’activa, d’abord lentement, puis plus rapidement.
Si les premiers va-et-vient furent pénibles, la suite se révéla tout à fait supportable et me rappela les agréables sensations que les doigts de Clara me procuraient.
Le matelot me bourrait avec conviction. La queue glissait facilement et profondément.
C’était la deuxième fois que je cocufiais mon mari en quelques heures. Cette fois ...