Judith
Datte: 05/12/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Clar, Source: Hds
... le bouton et tirai le pantalon vers le bas. Rocier avait un caleçon sur lequel je tirai. Il enleva ses chaussures, me permettant de lui retirer le pantalon. Son sexe pulsait à présent devant moi. Folle de désir, je le pris avec mes deux mains, le caressant, découvrant le gland violacé. A chaque va et vient, j’avais l’impression qu’il grossissait encore, qu’il s’épaississait. Un mouvement. Rocier venait d’attraper Judith par le bras, la débarrassa de son pull, défit son soutien-gorge. Elle avait des seins plus gros que les miens, un peu tombant. Il les caressa, pinçant les mamelons, lui arrachant un petit cri de douleur. Ses caresses n’étaient pas douces, mais viriles. Il prenait possession d’un corps féminin. Il s’en déclarait propriétaire.
Je continuai de le branler. J’étais électrisée par le contact de ce cylindre chaud et humide. Je le pris en bouche, caressant et massant ses bourses gonflées. J’avais du mal à le prendre dans ma bouche. Il s’adressa à Judith « Retire la jupe de ta copine, et enlève la tienne ». Je continuai de le sucer, d’aspirer, de lécher son gland. « Allez stop ! Les deux, face à moi ». Je regardais Judith, elle avait gardé ses bas gris foncé, tendus par un porte-jarretelles de même couleur, et des escarpins à talons qui accentuaient la cambrure de ses reins. Ses têtons dardaient, son sexe épilé semblait luire. Quant à moi je n’avais que mes bas noirs. Mon sexe était liquéfié, suintant de désir, prêt à être fendu par le glaive triomphant. Rocier me ...
... demanda ce que je voulais. « Je veux ta queue, je veux que tu me baises, que tu me fasses hurler ». « et toi la boulangère, dis-moi comment tu trouves ma bite ? ». « Belle ». « Tu veux que je te baise après ta copine ? » « Je ne sais pas. Non…. ».
Rocier m’attira contre lui, passa ses mains sous mes fesses, et tel un fétu de paille, me souleva. Je croisai les jambes dans son dos, m’agrippai à ses épaules et me laissai glisser. Mon sexe trempé était déjà entrouvert. Son gland vint buter contre mes lèvres puis il s’enfonça d’un seul coup en moi. Je me sentis remplie totalement, son gland venant cogner contre le fond de mon vagin à la fin de chaque course. Il me maintenait sous les fesses, je sentis une de ses mains se déplacer et un doigt inquisiteur pénétrer mon anus, bientôt rejoint par un deuxième. L’orgasme arriva brutalement. Je hurlai, m’empalant sur ce pieu qui me labourait. Il s’arracha de moi et me posa à côté de lui. Il marcha vers Judith, la bascula sur le tapis, sur le dos, lui écarta les cuisses, et l’investit d’une seule poussée. Elle hoqueta, expulsant tout l’air que contenait ses poumons. Il la défonçait littéralement, donnant de violents coups de reins accélérant le rythme. Judith fut foudroyée par un violent orgasme. Il se retira d’elle et éjacula sur son ventre. « Bon allez, assez ri, on se rhabille et on rentre ». Nous nous rhabillâmes comme des automates. Dix minutes après, nous étions sur le parking et Rocier repartit rejoindre sa femme. « Ce type n’est ...