Judith
Datte: 05/12/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Clar, Source: Hds
... Jacques Rocier me fixait d’un regard lourd, lubrique. Je lui souris et il s’approcha de nous. « Permettez-moi de lever le verre à deux jolies femmes, essentielles à la vie de notre cité, mon infirmière et ma boulangère ». Judith essayait de ne pas le regarder. A voix basse, il me demanda « as-tu mis une culotte ma salope préférée ? je parie que non. Et toi ma boulangère ? » Le teint de Judith vira au pivoine. « Ma femme est en train de pérorer avec ses amis de son association, elle en a pour une plombe. On s’éclipse mes chéries ? » Profitant que personne ne faisait attention à nous, je posais ma main sur son entrejambe, tâtant son sexe conséquent. « Oui » murmurai-je. « Viens Judith, si tu ne veux pas participer, tu regarderas, il est impressionnant ».
Nous nous mêlâmes aux groupes qui commençaient à partir. « On va prendre ma voiture, je vous ramène après. De toute façon, il faut que je récupère ma femme ». Nous nous dirigeâmes vers le gros 4X4 de l’artisan. Il s’installa au volant, je montai à coté de lui, et Judith derrière. Se tournant vers elle et l’enveloppant d’un regard lubrique, il lui demanda « tu veux que j’appelle un pote pour qu’il te baise pendant que je m’occupe de ta copine ? « « Non merci, monsieur Rocier ». Jacques Rocier éclata de rire « Non mais écoute moi ça. Ça donne du monsieur Rocier. Eh ! t’es pas dans ta boutique ici ! Ecarte donc les cuisses que je mate » Judith obéit, écartant timidement les cuisses, laissant apparaitre des bas et un string ...
... assorti. « Sache cocote, que quand on vient chez moi, on est cul nu. Demande à ta copine. Alors vire moi ça. Et j’espère que t’as pas de soutif, on va pas au catéchisme ». Rocier se retourna, mit le contact et démarra. « et toi ma p’tite pute, t’es prête je suis sûr « . Ce faisant, il passa une main sous ma jupe, la retroussa et posa sa main sur mon abricot. « Toi t’es une bonne, tu mouilles déjà ».
Cinq minutes après il s’arrêta dans la cour. Nous le suivîmes à l’intérieur. « On va dans le salon ». Je reconnus les lieux, le grand miroir sans tain, le canapé, le tapis. Il se campa devant nous, jambes écartées, les mains sur la taille. Son regard allait de l’une à l’autre. Le regard du mâle sûr de lui, de sa virilité. Par défi, je retirai mon pull, offrant mes seins nus à ses yeux. Je m’approchai de lui, jusqu’à le toucher. Il me dépassait d’une bonne tête. Je frottai mes seins contre lui, appuyant mon ventre contre son pubis dont je sentis une affolante excroissance. Ses mains partirent sur le bas de mon dos, il attrapa ma jupe et la retroussa, empoignant mes fesses dénudées. Déjà je commençai à gémir doucement. Le plaisir prenait lentement possession de mon corps. « Allez les filles, mettez-moi la bite à l’air. Toutes les deux. Tu dors la boulangère ? tu veux que je fasse venir mes ouvriers pour te baiser ? tu faisais moins la maligne avec Karim ». Je m’étais accroupie, légèrement décalée pour permettre à Judith de me rejoindre. Je défis la ceinture de son pantalon, dégrafai ...