Judith
Datte: 05/12/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Clar, Source: Hds
Judith
Clotilde est infirmière libérale dans une petite ville du centre de la France. Souvent seule, son mari travaillant à plusieurs centaines de kilomètres, il lui arrive d’avoir des envies.
Trois ans auparavant, elle a eu une liaison avec Paul Guibaud, un sexagénaire divorcé, liaison qui a cessé lorsque celui-ci a quitté la région après avoir rencontré une nouvelle compagne.
Ce que Clotilde ignorait, c’est que leurs ébats avaient été photographiés, et qu’un mystérieux maitre-chanteur menaçait de diffuser des photos compromettantes si elle n’obéissait pas à ses règles. C’est ainsi qu’elle fut amenée à travailler en jupe, à mettre des bas puis à s’exhiber discrètement devant ses patients. Heureusement, ceux-ci ne s’en aperçurent pas, sauf un certain Jacques Rocier, électricien, qu’elle excita et qu’elle dut soulager en le suçant. Dans les minutes qui suivirent, elle subit l’assaut d’un mystérieux inconnu qui la fit jouir dans la salle de bain de monsieur Rocier. Cet inconnu était en fait son mystérieux maitre-chanteur, qui se révéla être Karim, un jeune employé de Rocier. Un soir, Karim attira Clotilde dans la maison fermée de Paul Guibaud, Rocier s’était joint à eux pour un trio. Rocier, gâté par la nature, s’était révélé être une machine à jouir.
Je venais d’entrer dans la boulangerie. Il était près de treize heures et Judith Gaudin, la boulangère m’accueillit avec un grand sourire. Sans que je ne lui demande rien, elle me servit une Tradition. Je la ...
... remerciai. « Vous avez l’air fatiguée ». « Oui, c’est vrai, vous savez, mon mari se lève à trois heures, cela me réveille et ensuite j’ai du mal à me rendormir » me répondit elle. « Vous comme moi avons une vie un peu compliquée, vous avec l’absence de votre mari, et moi avec les horaires du mien. Ça nous fait un point commun » ajouta-t-elle. Sans trop réfléchir je lui répondis « Nous avons au moins deux autres points communs ! ». « Ah bon, lesquels ? ». La regardant dans les yeux je lui répondis « Paul Guibaud. Et Karim ». J’avais en effet appris de la bouche même de Karim, que Judith avait été avant moi la maitresse de Paul puis de Karim après qu’il l’ait fait chanter. Elle me répondit qu’elle ne voyait pas de quoi je voulais parler. Je quittais la boutique, un sourire aux lèvres.
Le lendemain, je croisais Judith en ville. « Que savez-vous ? » me demanda-t-elle. Je lui racontais ce que je savais. « Mon mari n’a rien su de ma liaison avec Paul. C’était une folie, mais je me sentais seule, délaissée. Et pour la première fois j’ai cédé à un homme qui me faisait la cour. Pour la première fois je me suis sentie vraiment femme. Et pas épouse ou mère. Ensuite, ce petit salaud de Karim m’a fait chanter, il m’a eue. J’avais honte, vous vous rendez compte, il avait un peu plus de vingt ans. Mais il me donnait tellement de plaisir. Et puis, mon mari a eu des doutes. Je ne m’habillais plus pareil, je me maquillais. J’ai dû rompre avec Karim. C’était mieux ainsi. Mais…et vous ? ». Je lui ...