1. La chute d'Alice - Chapitre 1


    Datte: 05/12/2019, Catégories: fh, fsoumise, pénétratio, sf, Auteur: Homer839, Source: Revebebe

    ... hélicoptères. Je ne pensais pas en voir un jour. Cela fait huit cents ans que nous ne nous servons plus de telles machines archaïques, trop lentes et trop peu manœuvrables. Je comprends vite d’où viennent les impacts de tirs sur les murs derrière moi en regardant ces engins d’un autre temps se poser devant moi, leurs canons rotatifs juste sous leur nez semblent encore fumants et brûlants. Me voilà sur un monde archaïque où la technologie semble à peine atteindre le début de l’ère spatiale.
    
    Un monde à deux faces, une désertique aride, l’autre désertique glaciale, ces deux déserts atypiques séparés par une ceinture verte qui semble être la seule zone habitable et tempérée de ce monde. Technologiquement peu développé, dépendant des énergies fossiles, utilisant des armes à projectiles métalliques archaïques. Il doit sûrement s’agir d’une ancienne colonie abandonnée depuis plus de huit cents ans, depuis le début de la guerre de Sar’hal. Me voilà dans de beaux draps !
    
    — Allez ! Tout le monde à bord !
    
    Sa voix tonitruante se fait à peine entendre au-dessus du bruit des turbines et des rotors des hélicoptères posés à quelques mètres de nous. Les autres filles montent dans le plus grand, alors qu’il m’entraîne vers un autre, plus petit, plus récent. Je peux presque sentir l’odeur de la peinture neuve dessus. Nous ...
    ... montons à l’arrière, sur une banquette très peu confortable, une sangle en tissu en guise de harnachement. Les turbines s’accélèrent alors que l’appareil décolle et prend de l’altitude. J’ajuste alors un peu mon maillot, tirant dessus pour qu’il couvre un peu mieux mes cuisses, le voyant me détailler de la tête aux pieds comme s’il n’avait jamais vu de femme.
    
    Le chef ne m’a pas quittée du regard un seul instant depuis que j’ai ce maillot sur le dos. Toujours cagoulé, il ne semble ni sourire ni se détendre. L’arme toujours dans ses mains que j’estime toujours chargée, il me surveille et m’observe, semblant attendre quelque chose, quelque chose qu’il semble plus redouter et craindre que désirer. J’esquisse un petit sourire en venant détacher mes longs cheveux blonds, les démêlant de mes doigts pour les laisser retomber naturellement sur mes épaules et dans mon dos, quelques mèches plus courtes devant venant se poser sur mon torse. Malgré cela, il ne semble pas plus détendu.
    
    Je regarde alors à l’extérieur de l’appareil, volant à quelques dizaines de mètres du sol, j’aperçois le désert, encore et toujours ce désert de roche qui semble si aride et brûlant. Heureusement, l’air de l’habitacle de l’hélicoptère est climatisé, offrant une température chaude, mais agréable, bien loin de la fournaise extérieure.
    
    À suivre… 
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