1. La chute d'Alice - Chapitre 1


    Datte: 05/12/2019, Catégories: fh, fsoumise, pénétratio, sf, Auteur: Homer839, Source: Revebebe

    ... visage aux traits enfantins, les yeux turquoise, une petite bouille de jeune fille innocente, toute mignonne, mais qui me tire énormément, certainement desséchée par un manque d’hydratation, ou encore le froid de l’espace, ou la chaleur de la chute dans l’atmosphère de cette planète, ou encore la combinaison qui a dû se gonfler pour me protéger du crash.
    
    Enfin… Je ne vais pas me plaindre, je suis en vie, en un seul morceau, pas en très bonne situation, mais c’est toujours mieux que rien.
    
    Tiens, les deux hommes se tournent vers une autre fille. Une rousse, élancée, des jambes interminables, fines et longues, des fesses légèrement rebondies et fermes, musclées sans aucune exagération comme tout le reste de son corps, un ventre plat, une poitrine que je qualifierais de normale, un visage fin et doux, mais le regard vide, comme absente, ou tout simplement droguée.
    
    — Ouais elle fera l’affaire, Wirt ! dit Wayne, le molosse à son compagnon plus petit, Wirt, qui sort un trousseau de clés de sa poche et ouvre le cadenas de la cage de la rousse. Il la saisit par le bras et la tire vers lui, sans aucune douceur, mais elle se laisse faire. Dans un état second et complètement droguée, il jette la pauvre dans les bras de Wayne qui semble beaucoup plus doux.
    
    Il la prend sous les bras et vient l’allonger à même la table en métal, les jambes pendantes dans le vide, il les lui écarte presque doucement et tendrement de ses grandes mains. Il ne prend même pas la peine de retirer ...
    ... son pantalon qu’il ouvre juste d’une main, venant libérer son membre tendu qu’il guide lentement entre les cuisses de la rousse, pour finalement la prendre, les mains sur ses hanches. Pendant de longues minutes il la couvre de caresses, doux et tendre malgré sa carrure de brute musclée. La pauvre petite se fait ainsi envahir par le grand Wayne, alors que Wirt nous a abandonnés.
    
    Presque malgré moi je regarde avec une certaine envie ce spectacle. Certaines autres filles à peine plus conscientes que cette rousse, se laissent aller à l’excitation de la scène et se caressent sans aucune retenue. Je le remarque bien malgré moi, un désir pervers naissant en moi, envie de me donner à cet homme si doux avec cette femme qu’il prend, alors qu’il semble avoir remarqué les autres femmes et semble prendre un grand plaisir à les observer pendant qu’il donne de puissants et lents coups de reins, faisant gémir malgré elle de plaisir cette jeune femme à peine consciente, offerte à ce mâle.
    
    Les râles de plaisir et gémissements de ces femmes qui se caressent emplissent rapidement la cave dans une ambiance de luxure alors que je lutte pour rester de marbre devant un tel spectacle. Le voir aller et venir entre ses longues jambes, voyant sa verge glisser entre ses lèvres si délicatement ouvertes…
    
    Ce spectacle semble interminable, le grand Wayne a pris les jambes de la jeune femme dans ses mains en les soulevant sans aucune peine pour les poser contre son torse, jointes et posées sur son ...
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