La chute d'Alice - Chapitre 1 - Histoires de Sexe

La chute d'Alice - Chapitre 1

... mauvaise qualité, mais la qualité des choses ne semblait pas être le souci principal de ces personnes.

Devant moi, deux hommes, grands bruns mal rasés, vêtus tous deux de tenues claires, blanc cassé, qui semblent être en étoffe légère, peut-être du lin, ou quelque chose comme ça. Je devine aisément leurs corps musclés sous leurs tenues. Ils me regardent, surtout l’un d’entre eux, le plus grand, un géant pour moi qui suis toute petite. Il doit sûrement faire dans les deux mètres, semble aussi solide qu’un roc et extrêmement bien bâti. Le visage carré aux traits marqués et sévères, les yeux d’un noir profond, ses sourcils épais et en bataille. Cet homme doit sûrement être un baroudeur, ou quelque chose du genre, et sûrement le Wayne en question.

L’autre homme, plus petit de presque une tête, est légèrement plus grand que moi, plus fin également que le mastodonte à ses côtés. Les traits plus fins, il affiche un petit sourire narquois et pervers qui n’inspire rien de bon. Pourtant il n’est pas désagréable à regarder, on devine facilement ses muscles sous sa tunique de lin légèrement ouverte sur son torse, laissant apercevoir une toison aussi noire que ses cheveux et ses yeux, lui donnant un petit air de mauvais garçon charmeur.

Mes yeux finissent par s’habituer à cette lumière aveuglante de cet éclairage pointé sur moi. J’observe alors avec effroi le reste de cette cave. Une table en métal de toute aussi mauvaise confection que la porte est au centre de la pièce, les ...

... hommes devant prenant appui dessus, alors que tout autour de la grande cave, le long des murs, une dizaine de cages, en acier de mauvaise qualité mais assez solide, et surtout, cadenassées.

Enfermées dans ces cages, des femmes, uniquement des femmes, toutes très belles, et pour tous les goûts. Brunes, rousses, blondes, toutes plus grandes que moi, allant d’une demie tête de plus que moi, jusqu’à une tête et demie pour la plus grande. De très belles plantes, des corps magnifiquement sculptés, elles semblent toutes jeunes. Cependant je remarque vite qu’elles ne me ressemblent pas du tout. Déjà de par la taille, et de par leurs corps. Leurs poitrines sont plus généreuses et fermes que mes petits seins, un seul de leurs seins ne tiendrait pas dans mes deux mains. Sans parler de leurs fesses rondes, comme des petits ballons à la peau douce et chaude. Les miennes sont petites et fermes, même si ma peau est sûrement plus douce que la leur, elles sont plus gâtées par la nature que moi.

Au final, j’avais passé plus de temps à regarder et observer l’endroit où je me trouvais qu’à faire attention ma propre situation. J’étais moi-même en cage, nue. Mes longs cheveux blonds étaient attachés en une queue de cheval très mal faite, certainement par des hommes, qui tombait juste au-dessus de mes petites fesses fermes, en parfaite harmonie avec ma poitrine que je trouve très bien proportionnée, du moins assez pour tenir presque entièrement dans mes mains. Quelques mèches encadrent mon ...