Kabir, maman et moi (2)
Datte: 21/03/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: lo1ka, Source: Xstory
... pour lui faire un gang bang ? demanda carrément Tony en rigolant.
— Moi, je l’encule en premier les gars, les MILF comme ça, ça adore l’anal, proposa Arnaud.
— C’est bien, tu vas la dilater un peu avec ton micropénis avant que je la défonce avec mon gros zob, ça lui fera moins mal, surenchérit Raul.
— Mais quel goujat, respecte un peu sa mère p’tit con, elle a besoin de douceur en se prenant une bite dans le cul. T’inquiète pas Loïc, je lui enfoncerai ma queue tout doucement, centimètre par centimètre jusqu’à ce qu’elle s’habitue, se rattrapa Arnaud.
— Moi j’te mens pas Loïc, ta mère, je vais l’enculer d’un coup comme une chienne, elle va pas savoir ce qui lui arrive, avoua Raul.
— Eh les gars, vous avez l’air d’oublier qu’un mec s’est installé chez sa salope de mère maintenant. D’ailleurs quand j’y pense, on aurait tellement dû la tringler pendant qu’elle était célib, remarqua Tony.
Raul et Arnaud ne semblaient toutefois pas découragés par ce constat. Je rigolai un bon coup, puis demandai au serveur de nous ramener l’addition. Sur le chemin du retour vers la maison, je ne pus m’empêcher de penser à ce que Tony, Arnaud et Raul m’avaient avoué au sujet du désir qu’ils avaient pour ma mère. C’était normal après tout, maman est une très belle femme et, lors des fois où mes amis m’avaient rendu visite à la maison, elle s’était montrée très accueillante et très sympathique. En plus de ça, elle portait comme à l’accoutumée l’une de ses petites robes légères ...
... qui dévoilaient ses belles épaisses et le haut de ses gros seins.
Mais comme Tony l’avait souligné, c’était maintenant Kabir qui en profitait. Je ne fus pas surpris, en franchissant le pas de la maison, d’entendre les gémissements de maman qui provenaient de la chambre à coucher. En y pensant un peu plus, j’ai trouvé le fait qu’ils proviennent de la chambre à coucher plutôt surprenant, finalement, puisque Kabir aimait généralement forniquer dans des pièces plus "aérées", comme le salon ou la cuisine. Je remarquai aussi que cette fois-ci, les gémissements de ma mère sonnaient différemment. Ce n’était pas vraiment des gémissements de plaisir, mais plus des cris de douleur. Chaque cri était accompagné d’une secousse qui traversait la porte de la chambre. Je devinai que ma mère était debout, cambrée en posant ses mains sur la porte, et que Kabir lui donnait de violents coups de reins par-derrière.
— Kabir, s’il te plaît... tu me fais mal, entendis-je ma mère grommeler.
— Ta gueule, pétasse, ouvre bien ton cul, t’auras moins mal, répondit Kabir en maintenant les violentes secousses sur la porte.
C’était comme une prophétie. Moi qui imaginais le spectacle de maman en train de se faire sodomiser à tour de rôle par Tony, Arnaud et Raul, voilà que ça lui arrivait vraiment, sauf que c’était par l’inévitable Kabir. Les cris de maman se transformaient progressivement en pleurs. Décidément, elle n’aimait pas ça...
— Ca y est, j’en peux plus Kabir, lâche-moi ! protesta ma ...