Kabir, maman et moi (2) - Histoires de Sexe

Kabir, maman et moi (2)

... docilement à lécher les belles couilles pendantes qui s’offraient à elle. C’était la première fois que je voyais la queue de Kabir en son entièreté. Toutes les autres fois, elle était dissimulée dans une couverture au salon, fourrée dans la chatte de maman, ou alors à moitié rentrée dans sa bouche. C’était une très belle queue. Elle était circoncise et devait faire une vingtaine de centimètres de longueur et environ quinze centimètres de circonférence. Elle était fièrement dressée au-dessus du visage de maman et venait effleurer ses yeux et son nez à chaque passage d’un testicule à l’autre.

— Ta maman commence la journée avec bonne dose de foutre qu’elle avale tous les matins comme une salope, c’est pour ça qu’elle est pleine d’énergie ces derniers temps, se moqua-t-il en se masturbant frénétiquement devant la bouche béante de maman qui attendait sa dose matinale de vitamines avec impatience.

Comme l’avait annoncé Kabir, maman avala joyeusement la décharge de liquide blanchâtre. Elle eut désormais le temps de se retourner vers moi, le visage radieux, et de me dire bonjour. Comme à l’accoutumée, elle déposa un baiser sur le gland de Kabir avant de prendre son chibre et dans le remettre dans son caleçon, comme une propriété chère qu’elle souhaite bien garder à l’abri des convoitises. Kabir vint s’asseoir en face de moi dans la table à manger, maman le rejoint immédiatement et s’assit sur ses genoux. Kabir la prit par la taille et la redressa de manière à ce que sa queue ...

... encore en demi-érection soit juste en dessous de son vagin dont la lèvre gauche dépassait du string. Depuis notre conversation de la vieille, maman semblait beaucoup plus libérée et portait désormais ses petites tenues dans la maison sans gêne. Kabir en profitait pour pétrir ses seins et ses cuisses nonchalamment devant moi, en déposant occasionnellement des baisers sur sa nuque.

Pendant ce temps, maman et moi discutions de tout et de rien, de mes cours, de son travail. Kabir se permettait des remarques désobligeantes et dégradantes, mais maman en riait et continuait de manger son yaourt aux fruits avec entrain.

Après le petit-déjeuner, nous quittâmes la maison, moi vers la fac, maman et Kabir vers leurs boulots respectifs. Je ne finis mes cours qu’à 18h, après quoi, je me posai un moment dans un café avec des amis pour décompresser. Arnaud, Tony et Raul étaient les copains avec qui je passais le plus clair de mon temps depuis que je suis à la fac. En me demandant s’il y avait du nouveau dans mon quotidien, je leur parlai de Kabir, le copain de maman qui s’était installé chez nous depuis quelques semaines. Evidemment, je ne leur parlai pas des humiliations qu’il nous faisait subir. Je dis seulement que maman était contente d’avoir un homme à la maison, et que moi, j’étais content pour elle. Mes amis plaisantèrent un moment en qualifiant ma mère de MILF et se dirent envieux de Kabir qui avait la chance de tringler une telle beauté.

— C’est quand que tu nous invites ...