1. Kabir, maman et moi (2)


    Datte: 21/03/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: lo1ka, Source: Xstory

    Maman, à genoux sur le tapis du salon, le visage dégoulinant du foutre de Kabir, remettait maladroitement les bretelles de son débardeur qui peinait à contenir sa généreuse poitrine. Elle ramassa son string du canapé et, d’un geste pseudo-pudique, tenta de recouvrir son entrejambe avec le petit morceau de tissu. Les larges fesses de ma mère restaient cependant exposées, peut-être à cause des irritations que les claques de Kabir lui avaient causées. Elles étaient aussi rouges que ses joues qui brûlaient d’embarras. Je trouvais maman toute mignonne comme ça, et essayais de lui sourire pour atténuer sa gêne. Mais apparemment, c’est l’effet inverse qui se produisit. Elle me regarda une fraction de seconde dans les yeux et détourna subitement le visage vers la gauche, puis vers la droite, puis encore vers moi. Maman ne savait pas où se mettre. Quelques secondes plus tard, elle prit son courage à deux mains et se décida enfin à parler.
    
    — Va dans ta chambre Loïc, j’arrive dans dix minutes pour te parler de... tout ça, dit-elle les yeux baissés.
    
    Elle se retourna et prit la direction de la salle de bain. En quittant le salon, c’est ses fesses qu’elle tentait de recouvrir avec son petit string fripé. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que cela ne rendait le spectacle que plus érotique. Le contraste entre la petitesse du string et la largeur de ses belles fesses rebondies. J’ai toujours admiré la beauté du corps de ma mère. Elle n’est pas un modèle de magazines de charme, mais ce ...
    ... n’est de toute manière pas le genre de femmes que j’aime. Mon genre de femmes, c’est maman. Gros seins, gros cul, cuisses épaisses, peau blanche laiteuse... son corps était fait pour être possédé par des hommes virils et dominateurs, comme Kabir. Malgré les nombreuses humiliations qu’il nous faisait subir, je trouvais que cet homme était le bon, celui que ma mère attendait désespérément depuis son divorce.
    
    Allongé sur mon lit, dans ma chambre, je fus suspendu à mes pensées par l’arrivée de ma mère qui portait désormais un pyjama et dont les cheveux exhalaient une douce odeur de shampoing.
    
    — Tu sens bon, maman, m’empressai-je de lui dire, pour tenter de détendre immédiatement l’ambiance.
    
    — Merci, mon chéri, répondit-elle en regardant ses pieds, anxieuse.
    
    — A propos de ce qui s’est passé tout à l’heure... rajouta-t-elle en déglutissant à la fin de sa phrase.
    
    — Maman, tu n’es pas obligée d’en parler si tu n’es p...
    
    — Si Loïc, je veux en parler, tu es mon fils et je te dois des explications, et des excuses, m’interrompit-elle en me regardant pour la première fois dans les yeux depuis le début de ses ébats avec Kabir.
    
    — Tu n’étais pas censé voir ça, ni subir les blagues de mauvais goût de Kabir, mais il est tellement... impulsif, dit-elle d’un ton dépité, mais avec des yeux qui trahissaient l’admiration qu’elle portait précisément à ce trait de caractère de Kabir.
    
    — Je ne veux pas que tu penses que c’est quelqu’un de mauvais à cause de ses... impulsions. Tu ...
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