Kabir, maman et moi (2) - Histoires de Sexe

Kabir, maman et moi (2)

... sais, au fond, il m’aime, j’en suis sûre et... et il m’apporte tellement depuis que ton papa a quitté la maison... Je sais que tu n’es pas vraiment en position de comprendre, mais, pour une femme, c’est très important d’avoir un homme à la maison, dit-elle innocemment, comme si ma présence en tant qu’"homme" dans la maison n’avait jamais compté. Mais je savais qu’elle faisait surtout référence à un homme "en charge" et ne fus pas vexé de son omission.

— Maman, ce que j’essaie de te faire comprendre depuis tout à l’heure, c’est que je t’aime et que je te soutiens inconditionnellement. Je vois bien que Kabir te rend heureuse, qu’il te fait sentir à nouveau vivante, qu’il t’a rendu le sourire qui avait disparu avec le départ de papa... Pour tout ça, je lui suis reconnaissant, et ce ne sont pas ses impolitesses de racaille maghrébine qui vont me faire changer d’avis.

Maman pouffa de rire, et je sentis le soulagement illuminer à nouveau ses beaux yeux et son joli sourire.

— Mon Dieu, s’il nous entendait, mes pauvres fesses passeraient un sale quart d’heure, surenchérit-elle en rigolant et en posant sa main sur ma cuisse.

— En tout cas, je suis très chanceuse d’avoir un fils aussi aimant et aussi compréhensif, tu es cadeau du ciel mon chéri, je ne pourrais pas être plus reconnaissante, conclut-elle sur un ton de gratitude.

Après une courte nuit de sommeil, je reportai l’alarme de mon téléphone de 7h à 7h10, puis de 7h10 à 7h15. Je décidai enfin de me lever et, ...

... après être passé aux toilettes, je me dirigeai vers la cuisine pour prendre mon bol de céréales journalier. Devant l’évier, Kabir se tenait debout, dans son débardeur blanc qui n’arrivait pas à contenir tous les poils de son torse, une tasse de café à la main. Maman était agenouillée sur le sol devant lui et s’appliquait à lécher ses couilles, puis à les gober une à une. A chaque fois qu’elle relâchait l’un de ses testicules pour passer à l’autre, les lèvres de maman produisaient un son incroyablement excitant.

En me voyant rentrer dans la cuisine, Kabir m’adressa un sourire provocateur, serra la base de son pénis et commença à bifler maman pendant qu’elle s’efforçait de maintenir ses testicules le plus longtemps possible dans sa bouche avant de les relâcher.

— Bonjour mon p’tit pédé, tu sais ce qu’il y a au menu du p’tit déj’ pour ta maman ce matin ? me demanda-t-il l’air amusé.

Cette fois-ci, je ne répondis pas, j’ignorai la scène qui se passait devant moi et partis prendre mon paquet de céréales. Kabir ne sembla pas apprécier d’être ainsi ignoré, le sourire dans son visage se dissipa et laissa place à une expression de colère qui se dirigea vers ma mère, qui s’appliquait toujours à sa tâche. Je vis la main de Kabir prendre un élan, puis gifler ma mère, qui profita du choc pour relâcher les testicules de Kabir et respirer.

— T’as pas éduqué ton fils à répondre lorsqu’on lui parle, pétasse ? cria-t-il en lui crachant sur la figure.

Ma mère sourit et se remit ...