1. La libraire


    Datte: 02/12/2019, Catégories: ff, couleurs, fépilée, massage, confession, Auteur: Anette, Source: Revebebe

    ... rapidement passer les bretelles par les bras. Elle défit les pinces des jarretelles et fit glisser les bas. Le glissement du nylon et des mains de Maeva sur mes jambes provoqua un frisson que je ne pus réprimer.
    
    Le porte-jarretelles fut également dégrafé et, pièce ultime, elle fit glisser le string. J’espérais qu’il ne soit pas trop taché de mes sécrétions intimes toujours trop présentes.
    
    Je me retrouvai donc nue devant une étrangère totale. Elle me prit par les épaules et, toujours derrière moi, me poussa vers la douche. Les lumières s’étaient éteints et il ne restait que l’éclairage lumineux et changeant de l’espace de douche. Au moment où je mis le pied sur la zone de douche, les jets se mirent en route et d’emblée à une température idéale. Les jets étaient doux, l’eau ruisselait sur mon corps. Me sentant hésitante, Maeva me poussa légèrement.
    
    — Ne vous faites pas de soucis pour vos cheveux, nous remettons tout en place à la fin.
    
    Elle avait une voix très douce mais un peu rauque. Je me laissai envahir par les bienfaits de l’eau et commençai vraiment à me détendre. Finalement, ce n’était pas si terrible que ça ! et je souris de ma réticence initiale.
    
    J’en étais là de mes pensées lorsque je sentis deux mains enduite de crème ou de lait qui prenaient possession de mon dos. La friction était à la fois ferme et douce. D’abord sur les épaules puis par rotation légère sur le dos. Les fesses furent également traitées et les cuisses et les jambes. Les mains ...
    ... remontèrent lentement et s’attardèrent un peu sur mes fesses comme si elles savaient que j’adore les caresses sur cette partie du corps. Je fermai les yeux.
    
    Maeva était très douce. Elle me fit tourner sur moi-même, nous étions face à face. J’ouvris les yeux, elle était entièrement nue !
    
    Je ne pus m’empêcher de la regarder. Elle était fine mais avec une poitrine lourde et d’énormes mamelons, moi qui trouvais les miens trop proéminents ! Un ventre plat et un pubis bombé que je pensais sans poils mais je n’en étais pas très sûre.
    
    Elle continua avec ses petites mains : les épaules, le cou et les seins sur lesquels elle s’attarda sans doute un peu. Je sentis mes pointes apprécier et se durcir. Le ventre qu’elle massa en un seul sens. Je savais la suite et j’avais accepté. Elle n’épargna pas mon sexe en le frottant très doucement, je sentis un doigt très bref séparer les petites lèvres mais elle ne s’attarda pas. Les cuisses ne furent pas oubliées.
    
    L’eau était douce, les mains de Maeva étaient douces, la vie était douce.
    
    Je commençai à vouloir que le temps ralentisse, ce furent les jets d’eau qui s’arrêtèrent. Maeva me recouvrit d’une sorte de cape à capuche qui devait me donner une allure de none. Drôle de none ! Elle-même se sécha rapidement et renfila sa tunique. Elle m’entraîna vers une autre pièce seulement éclairée par des bougies posées à même le sol autour d’un futon recouvert d’un drap de satin noir. Maeva me retira la cape et me demanda de m’allonger sur le ventre. ...
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