Chez Véro, coiffeuse pour hommes - Histoires de Sexe

Chez Véro, coiffeuse pour hommes

... mais là, c’est peut-être un peu trop !

— Et on fait quoi, là maintenant ?
— La balle est dans ton camp, Véro…
— J’avais compris, merci !

Il sourit d’une façon triste :

— Pragmatiquement, je vois trois choix : tu dis non ; tu reportes ta réponse à plus tard ; tu dis oui. J’avoue que je préfèrerais nettement la dernière option. Mais, c’est vrai que depuis le temps que nous nous connaissons, j’aurais dû mettre mieux les points sur les i plutôt que de me contenter de te regarder vivre.
— Ludo, je ne te comprends pas ! Tu as toujours su ce que tu voulais, et tu as toujours mis tout en œuvre pour l’obtenir. Alors pourquoi tu n’as pas fais la même chose avec moi ?
— Parce que, justement, c’est toi…
— Ah…
— Oui.

Parce que, justement, c’est moi. Drôle de réponse, que je comprends néanmoins parfaitement. Nous savons tout l’un de l’autre ; et pourtant, on s’est lamentablement planté. À présent, nos nez se touchent, nos souffles entremêlés. J’essaie d’être la plus calme possible, malgré le fait que je dégouline à présent. Ma voix tremble un peu :

— Ludo, je ne te répondrai pas.
— Ah bon ? Pourquoi ?
— Je te connais assez, je sais comment tu fonctionnes, je ne veux rien changer en toi. Alors comporte-toi simplement comme le Ludo que je connais. Et assume…

Pour toute réponse, il m’embrasse. Non, il m’embrase !

Nous nous embrassons comme des fous. Puis, passant à la vitesse supérieure, nos mains épousent nos corps, cherchent leurs volumes, palpent leur ...

... masse. Nos lèvres soudées, nos langues qui se caressent.

D’un doigt leste, Ludo réussit à dégager l’accès vers ma grotte nichée sous ma blouse, tirant sans vergogne sur le bas de mon vêtement, faisant sauter un à un les boutons-pressions. Sans préambule, il pointe sa queue bien raide à l’entrée de ma fente et tente de s’introduire en elle ainsi.

— Bien pressé, mon salaud !

Pour toute réponse, Ludo m’agrippe posément les fesses de ses mains avides et de ses bras puissants, puis il me soulève pour mieux me positionner sur son pieu dur comme du béton. M’ouvrant en grand pour lui, je lui enlace le haut des fesses de mes jambes. Mon empalement sur son membre est une sensation fantastique, une explosion multicolore de mes sens. Mes lèvres intimes enveloppent sa tige qui n’a aucun mal à s’enfoncer dans ma vulve très accueillante. Ludo plonge sa tête dans mon cou, sous mes cheveux, me dévorant sa ligne toute tendre et sensible. Je ferme les yeux, je gémis doucement. Que c’est bon !

Enfin, la queue de Ludo arrive au fin fond de mon antre détrempé, mes lèvres avides enserrant la base de sa tige déjà bien fichée en moi. Je pivote sur le pieu qui me perfore, contrôlant moi-même ma soumission à ce bâton de chair, ma lente montée vers la jouissance. Les mouvements que j’imprime à mon bassin, mon sexe qui frotte contre le sien, sa tige massée de l’intérieur augmentent terriblement mon envie et mon désir !

Je gémis toujours doucement, mes bras rivés à son cou puis je me tends en ...