1. Qui fait l'ange fait la chienne (3)


    Datte: 27/11/2019, Catégories: Trash, Auteur: blueyes, Source: Xstory

    ... Mais pas assez bas.
    
    Je ne me suis pas encore assez rabaissée pour être à la hauteur de son amour.
    
    Qu’attend-il de moi maintenant ?
    
    Il masturbe sa queue avec véhémence :
    
    — Finissons-en !
    
    Il estime que la séance a assez duré. Il n’a pas que ça à faire. Il approche son gland à quelques centimètres de mes lèvres :
    
    — Je vais me vider les couilles dans ta bouche ! Ouvre et sors la langue comme une chienne !
    
    — NON !
    
    Ça jamais !
    
    — Quoi ?
    
    Je lui aurais annoncé que la terre était plate, il n’aurait pas été plus étonné.
    
    — Pas ça, Thibaud !
    
    — Mais pourquoi ?
    
    — Je ne veux pas, c’est tout !
    
    — Mais pourquoi ?
    
    — Mais parce que c’est dégueulasse, voilà !
    
    — On t’a déjà éjaculé dans la bouche ?
    
    — Mais non, enfin !
    
    — Alors comment peux-tu être aussi sûre que tu ne vas pas aimer ?
    
    — …
    
    — Tant que tu n’as pas essayé, c’est complètement stupide de dire que tu n’aimes pas ! Moi, je suis, au contraire, persuadé, qu’en fait, tu vas adorer !
    
    — Non, s’il te plait…
    
    — Allez ma chérie, ne sois pas aussi bornée, juste tu goûtes, je t’envoie qu’une giclée dans la bouche…
    
    Je ne dois pas fléchir…
    
    — Une seule giclée, juste une, promis que je n’éjaculerai pas tout. Allez, ne me déçois pas…
    
    Tout en argumentant, il poursuit l’astiquage vigoureux de sa queue incroyablement congestionnée. Sa main accélère encore, un mouvement de branle quasi hypnotique, alors que son gland touche presque mes lèvres… Combien de litres de sperme peuvent ...
    ... contenir des couilles aussi grosses ?
    
    — … Allez chérie, juste une petite giclée. Une seule. Ce n’est pratiquement rien, je sais que tu vas aimer ça…
    
    Juste une giclée ?
    
    — … Ne sois pas aussi stupide, ma chérie, ouvre ta jolie bouche, allez, prouve-moi que tu m’aimes…
    
    … Pour essayer ? Pour le satisfaire ? Parce que je ne peux rien lui refuser ?
    
    — … Voilà ! Ce n’est rien tu vas voir, oui, voilà, ne bouges plus, comme tu es belle, oui, c’est ça…
    
    J’ai donc ouvert la bouche. Fermé les yeux dans une grimace d’appréhension.
    
    — Oui… oui… Je viens…
    
    La giclée est imminente…
    
    — … Je viens… Ô ! Ô oui ! Ô putain de chiennasse…
    
    Un grognement bestial… Une gifle de sperme atterrit dans mon palais… Un haut le cœur et je clos immédiatement les lèvres. Mais, de toute façon, il tient promesse, le reste du foutre s’écrase sur ma joue droite, puis sur la gauche. Encore un jet. Un autre. Il vise avec précision, a la galanterie de ne pas cibler les yeux ou les cheveux.
    
    Et puis :
    
    — C’était trop bon !
    
    J’en déduis la fin de l’arrosage. Je reste momifiée, le visage englué de semence. Ça colle et dégouline. C’est absolument dégueulasse. Et ce petit paquet visqueux, dans ma bouche. Impossible à déglutir. Je n’ouvrirai plus jamais les yeux de ma vie. J’ai trop honte de me voir et de me confronter à son regard dégoûté.
    
    Bien sûr, je me trompe complètement sur son état d’esprit. Ma déchéance est sa victoire. Mon avilissement son butin.
    
    Le conquérant est indulgent. Presque ...