Qui fait l'ange fait la chienne (3)
Datte: 27/11/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... ! STOP ! Je tape sur sa cuisse, comme un lutteur vaincu demande grâce. Il relâche immédiatement la pression. Il me libère. Je peux enfin reprendre mon souffle. J’en crache. L’écume baveuse ruisselle sur mon menton. Mon dieu, je dois être abjecte à regarder.
La trêve est de courte durée.
Il agrippe mon bras, m’entraîne sans ménagement, pas le temps de me relever, j’avance accroupie, comme une grenouille ridicule, jusqu’au canapé, je dérape sur une canette de bière, il n’en a cure, il me jette, comme un tas, j’atterris sur le cul, les jambes en l’air, la jupe troussée sur ma culotte.
Tout en débarrassant, d’un geste vif, le canapé des vêtements qui l’encombrent, il constate que je suis trempée :
— Chienne, tu en veux !
Affalée, offerte comme une catin, impossible de resserrer les cuisses, au fond, aucune envie de recouvrer un peu de dignité. Ma vérité est obscène.
Lui, bien droit, solidement planté sur ses pieds, savoure le spectacle.
— Tu n’es vraiment qu’une chienne !
Oui ! Je suis inadmissible ! Et il en faudrait peu pour que je le supplie. Mais heureusement, il se penche. Tout en approchant à nouveau son engin de ma bouche, il passe ses doigts sur ma culotte, confirme le dégât des eaux, appuie vicieusement et la soie s’imprime à mon abricot, m’arrache un gémissement fiévreux. Il entame plus franchement la masturbation, écarte le tissu, acoquine son pouce avec mon clitoris et, en même temps, enfile un doigt dans ma chatte. Et me baise. Et puis deux ...
... doigts. Et me baise encore plus énergiquement. Je crierai tellement c’est bon. Je gueulerais s’il ne me bâillonnait pas avec sa grosse queue.
Il me baise la chatte, la bouche et même l’esprit avec ses mots orduriers :
— Regarde-moi chienne ! Allez pompe comme une grosse pute ! Oui comme ça ! Aspire tout !
J’enserre son engin comme une folle, pour contenir les ondes qui se propagent de ma matrice, par vagues, irradient dans mon ventre, des lames de fonds qui vont m’emporter…
Juste avant l’orgasme, il sort et sa bite de ma bouche et ses doigts de mon vagin. Il crée un vide intégral en moi. Mes orifices réclament. En compensation, magnanime, il me donne ses doigts à sucer.
— Tiens, pompe ça, aspire ton jus… Suce tout comme une bonne chienne… Toujours en me regardant dans les yeux, voilà comme ça, c’est bien, petite pute…
Je n’hésite pas. Je n’ai décidément plus aucun amour propre. Je suis devenue ce qu’il voulait : une bête assoiffée de sexe. Le goût écœurant, gras-poisseux, de ma cyprine, le goût pré-séminal, plus âcre, tout se confond. Je nettoie consciencieusement ses doigts. Je sucerai tout ce qu’il voudra. Pourvu qu’il me donne encore sa bite à sucer. Je reçois ma récompense, plus que je ne le pense. Je m’embouche goulument. Je m’applique, mais ne suis pas douée. Il exige beaucoup plus.
Progressivement, il m’accule dos à l’accoudoir. Maintenant, il a enjambé le canapé, et moi avec, il a posé son pied à hauteur de mon torse, l’autre toujours solidement ...