1. La grande désillusion - Seconde époque


    Datte: 26/11/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, grosseins, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, BDSM / Fétichisme entreseins, Oral préservati, fdanus, fsodo, portrait, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... termina son verre de Chivas, et elle me prit la main pour m’entraîner dans un escalier tournant, en marbre noir. Son long déshabillé rose était opaque et la simple ceinture qui le fermait arrivait à peine à retenir ses seins opulents, libérés de toute entrave. Sa chambre relevait d’un décor de cinéma, avec des tentures fuchsia, un gigantesque lit rond, recouvert d’un drap de satin rose qui scintillait sous l’éclairage des nombreux spots disséminés dans la pièce. Toujours muette, elle entreprit de me dévêtir, accompagnant sa tâche de dizaines de baisers mouillés sur le torse, les cuisses et le pénis.
    
    Pendant que je me débarrassais de mes chaussures, de mon pantalon et de mon caleçon à fleurs, la grande dame s’écarta et fit glisser son déshabillé. Elle ne portait que son porte-jarretelles et ses bas nacrés. Ses seins impressionnants pendouillaient un tout petit peu et la fente de sa chatte rasée n’était plus vraiment rose nourrisson, mais cela n’avait pas l’air de la traumatiser. Sans qu’aucune parole ne soit prononcée, elle se mit à quatre pattes sur le lit, face à moi et agita lentement son buste. Les gros nichons subirent la loi de la gravitation et virevoltèrent, synchrones, dans une rotation qui me déclencha une érection spontanée. Debout en face d’elle, mon sexe vagabondait dans la bouche gourmande de mon hôtesse. Les mains agrippées à ses mamelles hollywoodiennes, j’étais aux portes du paradis blanc. Je dus prendre sur moi pour ne pas me laisser aller à une ...
    ... éjaculation précoce, mais j’avais des principes et une bonne éducation ! La mamie belge bénéficia donc de tout mon savoir-faire dans les caresses préliminaires et, ma foi, s’en trouva fort satisfaite. Sa volumineuse chatte imberbe, moelleuse à souhait, n’avait plus de secret pour ma langue mutine ; le clitoris, incandescent, rosissait de plaisir alors que, son anus, encore encombré de mon index agile, semblait frétiller de reconnaissance.
    
    J’entendis alors le son de sa voix pour la première fois. Avec un savoureux accent belge, la Brugeoise, en me tutoyant, me proposa, si cela ne me choquait pas, de conclure nos ébats par une spécialité française qu’elle avait eu l’occasion d’apprécier en vacances dans notre beau pays… C’était nouveau, ça venait certainement de sortir sur Internet mais moi, je n’étais pas au courant ! Surprise de mon ignorance, elle ne consentit à me dévoiler son caprice qu’à l’oreille, en susurrant : Madame voulait se faire sodomiser, tout simplement, si je peux dire !
    
    En fait, elle voulait concrétiser un phantasme bien précis et je lui laissai l’initiative des opérations. Allongé sur le lit, je venais d’enfiler un préservatif. Le sexe raide bien en main, j’attendais ma partenaire. Elle se lubrifiait énergiquement le trou du cul, avec une crème antirides qui traînait sur sa coiffeuse, semblant ignorer complètement la gigue improvisée de ses gros nichons, entraînés dans le mouvement.
    
    Après m’avoir redemandé si je n’avais pas changé d’avis, ravie, elle escalada ...
«1234...7»