La grande désillusion - Seconde époque
Datte: 26/11/2019,
Catégories:
fh,
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vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
photofilm,
BDSM / Fétichisme
entreseins,
Oral
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portrait,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... vidéo pornographique certes, mais, à usage interne et confidentiel. Je m’étonnais moi-même de mon indifférence aux aléas de la vie… le commencement de la vieillesse certainement. La Brugeoise, tout à sa vengeance, était complètement inconsciente de son indélicatesse. Dans le hall d’entrée de la maison bourgeoise, alors que je m’apprêtais à prendre congé courtoisement, elle eut même le culot de me proposer des billets de loterie du club de judo de son petit-fils ! Elle trouva plutôt surprenante la transaction que je lui proposai alors, mais elle l’accepta. Au point où elle en était, elle jugea qu’elle n’était plus à une dépravation près !
Débarrassée de son déshabillé, la grande dame, complètement à poil, prit donc position, respectant mes consignes. Debout, au-dessus de la cuvette des toilettes, les longues jambes légèrement fléchies, Madame fit son gros pipi de l’après-midi, sans état d’âme, en souriant même à l’appareil photo numérique avec lequel j’immortalisais la scène. Un petit bonjour à papa Freud, en passant, mais, ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion de reluquer une vieille foufoune rasée se transformer en fontaine abondante… Cette fantaisie m’avait coûté cinq carnets de billets de loterie mais, dans ma poche, frissonnait une petite culotte transparente que j’avais récupérée discrètement dans le bac à linge sale, près de la baignoire.
Une poignée d’heures après mon premier tournage de vidéo X, sur l’autoroute du retour, en France, je m’arrêtais ...
... pour prendre un café. J’aidais un gringalet, d’une soixantaine d’années, à changer l’énorme roue crevée de son 4x4, sur le parking. Sa femme, qui conduisait, me demanda poliment de les escorter, jusqu’à chez eux (à une dizaine de kilomètres), au cas où une seconde crevaison surviendrait.
Pour me remercier, dans leur pavillon, elle improvisa un repas sur le pouce. Une affiche, de l’île grecque de Santorin, ornait un mur. J’évoquais alors avec mon hôte mes prochaines vacances en Crête. Que le monde est petit ! Le couple était inconditionnel de cette île : après quatre séjours successifs, ils en connaissaient la moindre petite chapelle aux dômes bleus, le moindre hameau inondé de bougainvilliers perdu dans la cambrousse et ignoré des touristes. Le petit homme, joyeux, annonça la nouvelle à son épouse ravie qui revenait de la salle de bains où elle avait changé de tenue. Le tailleur, pied de poule, avait été avantageusement remplacé par une tenue de détente. Cette métamorphose rajeunissait énormément l’apparence de la retraitée que son époux appelait amoureusement « Vivi ».
Le petit homme, aux cheveux courts coiffés en brosse, semblait habitué à cette tenue mais, moi, je ne pus m’empêcher de détailler cette heureuse apparition : une jupe courte et droite, en jean bleu ; les jambes nues avec une chaînette encerclant la cheville droite ; des sandales d’été, rouges, à semelles superposées ; un ras du cou très court, vert d’eau, qui dénudait le nombril et qui moulait la poitrine ...