1. La grande désillusion - Seconde époque


    Datte: 26/11/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, grosseins, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, BDSM / Fétichisme entreseins, Oral préservati, fdanus, fsodo, portrait, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    La Grand Place pavée de Bruges inondée de soleil, les calèches bondées de japonais prêts à affronter stoïquement l’odeur du crottin frais et fumant, les lycéennes anglaises aux strings multicolores débordant d’un jean à taille très basse, une bière d’abbaye fraîche en guise d’apéro à la terrasse d’une taverne : que demander de plus à l’occasion d’un jour de détente que je m’étais accordé, comme ça, sur un coup de tête, à deux heures de route de chez moi ?
    
    Face à ma table, à un mètre, de dos, un grand monsieur très chic. Il lit un journal. Son épouse, face à moi, me sourit. Ses cheveux sont gris argent. Son visage a subi un lifting qui, en tirant sur les pommettes, lui donne un petit air asiatique. Deux rides profondes creusent quand même son cou. Elle semble avoir chaud car, elle agite à deux mains le bas de sa jupe plissée, pour éventer ses longues jambes, gainées de bas blancs et nacrés. Elle continue à me sourire et elle soulève plus haut sa jupe, en l’agitant, pour créer un courant d’air sous le tissu. Comme le spectacle semble m’intéresser, elle découvre volontairement le haut de ses cuisses, sur lesquelles cheminent des jarretelles blanches. Je ne détourne pas le regard, elle non plus. Sciemment, elle relève complètement sa jupe, pendant deux secondes au moins. Son porte-jarretelles est recouvert, en partie, d’une petite culotte blanche, fine et transparente, tendue par un pubis proéminent. Sa fente est longue et sombre, comme engloutie entre les deux épaisses ...
    ... boursouflures de sa chatte rasée. Je lui lance un clin d’œil, elle me répond par le même signal complice, avant de sortir un stylo et, de griffonner discrètement un mot sur une carte de visite. Son mari ne relève même pas la tête de son journal quand elle se lève en prenant son sac à main. Elle se dirige vers l’intérieur du café, en faisant un détour vers ma table. Elle est très grande, sa poitrine somptueuse danse, comme si le soutien-gorge avait été desserré de plusieurs crans. Elle dépose la carte sur ma table en me fixant le blanc des yeux, déterminée, puis elle continue son chemin, comme si de rien n’était…
    
    — Je m’ennuie à mourir et, je trouve les Français très séduisants…vous avez mon adresse sur la carte. Mon mari sera absent à partir de 14h…
    
    J’avais écris un énorme « OK » sur mon sous verre en carton en attendant son retour. Elle en fut ravie mais ne sembla pas troublée outre mesure. Décidément, j’étais devenu la coqueluche des mamies qui voulaient s’encanailler ! Cette constatation ne me sembla pas du tout gratifiante pour mon image de marque. Comme j’avais du retard d’affection à rattraper, je remis à plus tard une analyse exhaustive de la situation.
    
    La maison flamande était étroite et haute, au bord d’un canal où passaient les bateaux-promenade, remplis de touristes qui mitraillaient le site, avec leurs appareils photo numériques. La dame belge ne prononça aucune parole quand elle m’introduisit dans la riche demeure. Elle écrasa une longue cigarette turque, ...
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