Fabienne
Datte: 26/11/2019,
Catégories:
fh,
voisins,
grosseins,
fsoumise,
fsodo,
fouetfesse,
Auteur: Rubens, Source: Revebebe
... pénétrations, mon doigt tente de s’enfoncer plus profondément dans son petit cul. Cette fois elle proteste, elle n’aime pas que l’on touche à cette partie de son anatomie. J’ai maintenant le sexe parfaitement lubrifié, et cet œillet n’arrête pas de me faire des clins d’œil, aussi je sors totalement du vagin de Fabienne pour présenter mon sexe à l’entrée de son petit cul.
— Non, hurle Fabienne, pas mon trou du cul.
Une claque sonnante s’abat sur ses grosses fesses, puis une autre.
— Tu as promis d’obéir, cela fait partie de ta promesse.
— Pas mon cul, geint-elle faiblement.
— Si, tu vas me donner ton cul de salope, et me dire que tu veux que je t’encule.
— Non pas mon cul…
— Ce n’est pas ce que j’attends de toi.
Une nouvelle claque sonnante s’abat sur ses grosses fesses. Il en faudra encore une puis une autre quand de guerre lasse :
— Oui vas-y, finit-elle par concéder.
— Demande mieux que cela !
— Encule-moi, mais va doucement, c’est la première fois
— Ne t’inquiète pas, je serai doux et je ferai attention.
Qui l’eût cru, Fabienne si libre, aux multiples expériences ne s’est jamais fait sodomiser ! Et c’est moi qui vais la déflorer côté cul.
— Je vais présenter mon sexe devant ton œillet et chaque fois que tu sentiras une résistance tu pousseras ...
... comme si tu allais aux toilettes, j’irai doucement et tu ne devrais pas avoir mal.
Je force un peu l’anneau culier, légère résistance, je sens Fabienne qui se contracte puis qui pousse avec de grandes expirations. J’accentue un peu ma pression, cela résiste toujours, alors je gifle violemment les fesses de Fabienne, elle commence par crier un peu avant de comprendre qu’elle ne fera cesser la douleur sur ses fesses qu’en se détendant et en acceptant ma bite dans son fondement. Cette fois j’y suis, j’ai enculé ma voisine ! Et comme je ne veux pas qu’elle y prenne le moindre plaisir, je ne lui laisse pas le temps de s’habituer à mon engin, et je commence à la bourriner comme si ma vie en dépendait. Je l’entends râler et se plaindre, mais je n’en tiens aucun compte, seul mon plaisir m’importe, et bientôt je me libère dans le fondement de Fabienne. À peine terminé, j’extrais ma bite de son fondement et me relève pour partir. Fabienne pleure, de douleur peut-être un peu, mais surtout par frustration, la soumission ce n’est pas la façon de faire l’amour qu’elle attendait.
Je lui glisse néanmoins un petit bisou sur la joue avant de m’éclipser. Je suis certain que Fabienne ne cherchera pas à renouveler l’accident de ce soir, et je peux partir en vacances l’esprit tranquille.