Fabienne
Datte: 26/11/2019,
Catégories:
fh,
voisins,
grosseins,
fsoumise,
fsodo,
fouetfesse,
Auteur: Rubens, Source: Revebebe
... poitrine sur mon torse. Je lui caresse doucement les cheveux, tentant de la consoler gentiment, mais je ne peux empêcher mon érection de se manifester contre sa cuisse. Au bout de quelques instants, elle se calme, ses larmes cessent de couler, et soudain elle redécouvre ma bite raide comme une trique, preuve de l’effet qu’elle me fait.
— C’est moi qui te mets dans cet état ? questionne-t-elle naïvement.
— Je ne vois pas qui d’autre ici pourrait être responsable !
— Oui, mais ce n’est pas bien ce que l’on a fait.
Pour clore les débats, je pose mes lèvres sur les siennes brûlantes de désir, et lui donne un baiser dans lequel je mets toute mon âme. Elle accepte ce baiser et me le rend, preuve de son acceptation. À partir de là tout va s’accélérer, je vais lui empaumer les seins et sucer leur téton comme si ma vie en dépendait. Je vais ensuite soulever Fabienne, pour la poser sur la table et la prendre sauvagement. La gentille Fabienne toute timide se transforme en salope dévergondée dès qu’une bite lui ramone sa cheminée. Un moment je vais avoir peur que les voisins n’entendent ses cris d’extase, mais heureusement ils sont déjà partis en vacances donc nous sommes tranquilles pour terminer notre copulation. La vision des énormes mamelles qui vont et viennent à chacune de mes pénétrations me fait un effet tel que bientôt la crème monte et je ne tarde pas à jaillir.
C’est au moment où je m’effondre sur Fabienne totalement lessivée que nous entendons un bruit dans le ...
... garage. Immédiatement nous nous rhabillons et tentons de donner une allure naturelle à notre tenue. En allant voir, nous découvrons que ce n’est que le chien qui a renversé un seau qui est responsable du bruit.
Nous revenons vers la véranda, je donne les clefs de la maison à Fabienne et un semblant de lucidité me revenant j’ajoute en me retournant :
— C’est la première et la dernière fois, il nous faut oublier comme si cela ne s’est jamais passé, lui dis-je avec beaucoup de sérieux.
— Oui, acquiesce-t-elle timidement.
Au moment où je lui fais la bise pour lui souhaiter une bonne nuit, elle plante ses lèvres sur les miennes et m’embrasse à nouveau à pleine bouche.
— Non, on a dit qu’il ne s’est rien passé… tenté-je de dire.
— Il ne se sera rien passé après ce soir, mais avant, il nous reste un peu de temps, objecte-t-elle.
Mon cerveau réfléchit à trois mille tours-minute, comment me sortir de ce guêpier, car je sens qu’après ce soir il y aura un autre soir puis un autre et que nous courrons à la catastrophe pour nos couples respectifs. J’ai longtemps fantasmé sur les seins de Fabienne, nous venons de faire l’amour, mais c’est tout. Pour moi ce n’était que l’histoire d’un coup pour assouvir un fantasme, mais il n’y a pas de sentiments. J’en viens à regretter d’avoir céder à mes pulsions, enfin il est trop tard, il me faut assumer. Une idée complètement tordue commence à germer dans mon cerveau libidineux.
— C’est d’accord pour une dernière fois, mais c’est moi ...