Fabienne
Datte: 26/11/2019,
Catégories:
fh,
voisins,
grosseins,
fsoumise,
fsodo,
fouetfesse,
Auteur: Rubens, Source: Revebebe
... très rares personnes qu’elle fréquente et elle apprécie ma compagnie. Mais elle n’a jamais laissé sous-entendre, ou eu un comportement qui aurait pu laisser croire, que je lui plaisais au point d’échanger nos bactéries et qu’elle serait réceptive à des avances plus poussées.
Oui enfin, jusque ce soir de fin juillet, il est presque vingt-trois heures quand je passe chez elle pour lui donner les clefs de la maison, car nous partons en vacances le lendemain matin. Quand j’arrive chez Fabienne et Bernard, la voiture de Bernard n’est pas là, mais la porte du garage est grande ouverte. Comme je connais bien la maison, j’avance sans hésiter pour arriver sous la pergola. Il y fait sombre, seules trois bougies allumées éclairent la pièce. C’est alors que je j’aperçois Fabienne, elle porte une jolie nuisette en soie brillante rouge foncé, elle a également une paire de bas maintenus par un porte-jarretelles, c’est tout ce que je vois de sa tenue. Elle me tourne le dos, appuyée alanguie sur la rambarde et tortillant du cul, ayant entendu mes pas, elle m’invite à la défoncer sauvagement :
— Dépêche-toi ! Baise-moi ici tout de suite, bien à fond !
J’aurai dû me douter que cette invitation ne m’était pas destinée, mais c’est le cerveau reptilien d’en bas qui vient de prendre la direction des opérations. Devant une telle invitation, je ne réfléchis pas une demi-seconde, je baisse mon short et j’en extrais mon sexe de sa cachette. Ce n’est pas une bite, mais la tour Eiffel qui ...
... arrive à l’entrée de la chatte de Fabienne. Oh putain, la salope n’a pas de culotte et tortille du cul me confirmant, si besoin était, que s’est bien une bite qu’elle attendait, mais peut-être pas la mienne ! Déjà je coulisse dans sa fente complètement détrempée de désir. Elle ne s’en laisse pas compter, à chaque pénétration, elle balance ses petites fesses contre moi afin que je la défonce encore plus profond. Elle est chaude et peu discrète, m’encourageant et gémissant à chaque fois qu’elle s’empale à fond sur mon chibre.
Mon excitation est telle que déjà les prémices de la jouissance me titillent les bourses. Mon fantasme se réalise et tout d’un coup je pense à ses gros seins. Je vais faire une fixette dessus, il me les faut dans les mains pour les soupeser, tester leur souplesse et leur moelleux. C’est là que les choses vont se gâter, quand je vais vouloir lui empaumer ses énormes nichons, elle va alors se rendre compte que ce n’est pas Bernard qui la turbine depuis quelque temps ! Son premier réflexe sera de rompre notre étreinte charnelle et de crier au viol, avant de découvrir qu’il ne s’agit pas d’un quelconque voyou animé de mauvaises intentions, mais seulement de moi son voisin préféré. Elle va alors s’effondrer en pleurs dans mes bras.
— On a pas le droit, renifle-t-elle, entre deux sanglots, j’ai envie, mais on n’a pas le droit.
— Peut-être, mais on l’a fait, lui réponds-je.
Malgré ses dénégations, elle est blottie contre mon torse, écrasant son énorme ...