Fabienne
Datte: 26/11/2019,
Catégories:
fh,
voisins,
grosseins,
fsoumise,
fsodo,
fouetfesse,
Auteur: Rubens, Source: Revebebe
... qui décide et toi tu obéis sans discuter, je ne peux prendre vraiment mon plaisir que comme cela, mentis-je éhontément.
— Oui, tout ce que tu voudras, me répond-elle. En fait elle en a tellement envie que si je lui avais demandé son âme contre une partie de baise elle me l’aurait donnée.
— Bien commence par me sucer le sexe pour lui rendre toute sa rigidité.
Fabienne s’exécute avec gourmandise, en fait Popaul n’avait pas besoin de cela pour bander effrontément, les gros seins qui ballottent, sa tenue sexy et son désir pour moi l’ont rendu opérationnel, mais cela participe à la soumission que je veux obtenir de Fabienne. Soumission qu’il va me falloir pousser au-delà des limites qu’elle peut accepter afin de lui ôter l’envie de recommencer.
Pour l’instant, elle obéit à son maître sans rechigner suçant avec avidité mon chibre encore tout enduit de ses sécrétions intimes et du sperme de ma précédente éjaculation. Elle a l’air d’y prendre plaisir, aussi je lui ordonne d’arrêter.
— Allonge-toi sur le bain de soleil et écarte bien tes cuisses, sera mon second ordre.
J’en profite pour me saisir de la badine du chien. J’ai maintenant un panorama complet sur la vulve de Fabienne. Il faut dire que le point de vue vaut le déplacement. Au centre de son buisson noir jais, jaillissent les petites lèvres rouge carmin, je devrais plutôt dire ses lèvres internes, car elles sont, contrairement à ce que leur nom fait penser, très développées chez Fabienne. Au repos elle ...
... dépasse allègrement de deux bons centimètres ses grosses lèvres charnues et les poils noirs de sa foufoune. Cela surprend d’ailleurs de voir pendre cette excroissance rouge vif au milieu de cette forêt noire. Avec la badine je commence à lui caresser doucement ses lèvres si sensibles. Je passe ainsi une fois agaçant son clitoris au passage, puis deux, puis trois, Fabienne soupire de plaisir sous la caresse, mais soudainement la quatrième fois ce n’est plus une caresse, mais un coup de cravache très incisif. Fabienne hurle de surprise et de douleur, mais je reprends ma caresse pour calmer les sensations, et quand elle pense que la badine ne lui apporte plus que du bien, un nouveau coup la surprend. À nouveau elle va hurler, mais à nouveau elle laissera la badine reprendre ses caresses. Après quatre ou cinq reprises je vais m’apercevoir que non seulement elle ne hurle plus lorsque la badine s’écrase sévèrement sur sa chatte, mais qu’en plus elle semble attendre le coup suivant avec volupté, tant et si bien qu’elle mouille et ruisselle sur le matelas du bain de soleil. Elle y prend plaisir donc il faut que j’arrête.
— Mets-toi à quatre pattes, je vais te prendre comme une chienne que tu es.
Immédiatement Fabienne obéit et me présente ses fesses. Je commence par pénétrer trois ou quatre fois son vagin détrempé. Je place un doigt sur son petit œillet sombre, cela la fait grommeler, elle n’a pas l’air d’apprécier la caresse. Je crois que j’ai trouvé la faille. À chacune de mes ...