1. Cathédrale


    Datte: 22/11/2019, Catégories: f, fh, hplusag, amour, Masturbation Oral pénétratio, historique, fantastiqu, Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe

    ... sa grossesse, ne s’est pas affaissé et rayonne glorieusement au-dessus de deux cuisses musclées par les travaux ménagers. Des jambes fines achèvent de construire une silhouette élégante et équilibrée, rare pour une femme de cet âge, somme toute assez avancé.
    
    Ce matin, Clémence prend conscience de tout cela : son corps n’est pas mort… C’est même le contraire ; au moment où elle passe le linge sur son entrejambe, elle le découvre bien vivant et avide de retrouver tous ces plaisirs qu’elle s’était forcée à oublier, à éteindre en elle.
    
    Elle est troublée par l’afflux de sensations nouvelles. Sa main s’attarde sur ses lèvres intimes. Plus curieux que les autres doigts, son majeur s’insinue, découvre des nymphes gonflées et sensibles et se dirige vers le centre de son excitation autour duquel il tourne, il tourne lentement.
    
    Tremblante, les jambes coupée par l’agitation qui l’envahit, elle doit appuyer ses fesses sur la margelle du puits pour ne pas s’écrouler. Le corps stabilisé, elle s’enhardit et se décide à masser directement le clitoris. L’effet est extraordinaire, tout à coup son corps explose, elle ne peut retenir un cri qui résonne clair au milieu du chant des oiseaux. Pantelante, elle s’adosse au montant du treuil pour reprendre sa respiration. Jamais encore, elle n’avait joui si vite et avec une telle intensité !
    
    —oooOooo—
    
    Après avoir découpé deux larges tranches de pain qu’il a disposées sur la table à manger, Gaspard s’est assis attendant que Clémence ...
    ... serve les fèves au lard qui mijotent doucement sur le feu. Elle en verse une large louche sur chaque « pain tranchoir» qui sert d’assiette. Dans une écuelle, un fromage crémeux, très odorant et dans un panier, des fruits, viennent compléter le menu du déjeuner.
    
    Ils commencent à manger en silence. Pourtant toujours sûre de la qualité de sa cuisine, Clémence ne lâche pas Gaspard des yeux, anxieuse de ses réactions, cherchant à anticiper ses désirs. Elle se précipite presque pour lui donner un gobelet, quand il exprime le besoin de boire. Il la regarde en souriant :
    
    — Il est inutile de te hâter, Clémence, ma soif n’est pas si grande… Je prendrai de l’eau fraîche, approche-moi la cruche. Mais toi, je voudrais que tu te serves un petit peu de vin pour que je t’administre l’Élixir.
    
    Elle lui tend son gobelet dans lequel elle a versé quelques gorgées de vin. De son sac de ceinture, il tire la petite fiole et fait couler deux gouttes du liquide doré qui se mêlent instantanément au vin.
    
    — Bois doucement. Goûte cette vie qui va te pénétrer pour rénover tout ton corps.
    — Déjà ce matin, j’étais transformée. Vous ne pouvez pas savoir, Gaspard…
    — Oh que si ! Le souvenir de la première fois où j’en ai absorbé est toujours présent à mon esprit. Bois !
    
    Doucement, elle prend une petite gorgée de vin. Déjà, dans sa bouche, elle en ressent la puissance, c’est comme si elle buvait un rayon de soleil ! Au fur et à mesure qu’elle l’absorbe, elle perçoit les bienfaits de l’Élixir qui ...
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