1. Cathédrale


    Datte: 22/11/2019, Catégories: f, fh, hplusag, amour, Masturbation Oral pénétratio, historique, fantastiqu, Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe

    ... circule en elle, c’est un nouveau corps qui vient remplacer sa vieille carcasse usagée. L’œil pétillant et le sourire aux lèvres, Gaspard suit la transformation de Clémence.
    
    — Après cela, tu vas déborder d’énergie qu’il va falloir dépenser. Cet après-midi, je vais visiter le chantier de la cathédrale, veux-tu m’accompagner ? Tu m’aideras à porter mes instruments… Il faudra certainement escalader des échelles, habille-toi en conséquence.
    — Je vais enfiler des chausses sous ma jupe, ça me permettra de la remonter dans ma ceinture sans être indécente.
    — Parfait. Je vais faire une petite sieste. Nous partirons ensuite.
    
    —oooOooo—
    
    Ils sont tout en haut de l’immense échafaudage qui soutient le gabarit de bois sur lequel va s’appuyer la première voûte de la future nef. À la place de cet échafaudage s’élèvera la façade ouest avec ses deux tours et ses trois portails. Quatre énormes colonnes de pierre qui supporteront la voûte, commencent à monter le long du gabarit.
    
    Ils sont les seuls à cette hauteur. À travers l’entrecroisement des poutres, ils distinguent au sol, environ 80 coudées(44 m) plus bas, les ouvriers qui s’activent sur le chantier, tels des fourmis. Gaspard explique à Constance le plan du futur édifice.
    
    — Mais elle va être énorme, cette église.
    — Oh oui, la plus grande jamais construite. À la mesure de la ferveur, ou de l’orgueil, de ceux qui la veulent construire.
    — Tout les notables, tous les bourgeois et même une bonne partie du petit peuple ...
    ... participent à sa construction. Les uns avec leur argent, les autres en prêtant leurs bras.
    — Maintenant, profite de notre situation élevée pour découvrir la campagne autour comme jamais tu ne l’as vue. Vois, c’est magnifique…
    
    Jusque là, Clémence n’avait regardé que le chantier au travers de la forêt de bois constituant le gabarit. Son regard s’élève vers l’horizon devenu très lointain. Un instant, elle s’identifie à un oiseau, tout en haut du ciel.
    
    Elle tourne lentement sur elle-même et se trouve soudain face au vide. Le vertige la saisit, elle titube et serait sans doute tombée si Gaspard ne l’avait rattrapée. Dans le mouvement, il la plaque contre lui et ses mains pressent sa poitrine. Troublée, elle se laisse aller, les yeux fermés ; ce n’est pas cet instant-là qu’elle avait imaginé, mais il est là, tout contre elle et elle veut en profiter !
    
    Sous l’érection des mamelons, les mains de Gaspard se font douces. Tendrement, il dégage le corsage de la ceinture et passe ses deux mains en dessous. Le contact de cette peau tendre et chaude, en plein ciel provoque en lui une réaction qu’elle ne peut pas ne pas percevoir dans le bas de son dos. Sous les caresses, des spasmes parcourent le corps de Clémence qui est pressée contre son sexe bandé. Ils goûtent tous deux ce corps-à-corps excitant.
    
    Fermement, elle se retourne et s’agenouille à ses pieds. Relevant la chemise, elle dénoue le cordon qui maintient les braies de Gaspard et dégage le sexe de celui-ci. Une belle colonne de ...
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