En auto stop
Datte: 22/11/2019,
Catégories:
Hardcore,
Masturbation
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Maui01, Source: xHamster
... fermeture Eclair de mon jean. Ses doigts s’accrochaient à ma culotte, tiraient jusqu’à ce que ma petite touffe de poils frisés apparaisse dans l’ouverture du pantalon. Quand sa paume entrait en contact avec ma vulve, je saisissais son poignet et le repoussais fermement. Mes lèvres s’ouvraient sur une coulée chaude, mais je ne voulais pas céder encore. Dans un sursaut, je trouvais le courage de me lever. Renversant le garçon, je quittais la cave au galop.
Ce jeu risqué ne pouvait se prolonger indéfiniment. A notre troisième rendez-vous, il a prévenu mon geste. Un désir rageur décuplait ses forces. Les doigts qui serraient mon poignet avaient la dureté d’une pince, les jambes qui me maintenaient dans leur ciseau étaient aussi rigides que de l’acier.
Saisissant mon autre bras, il a maintenu mes deux mains au-dessus de ma tête. Quelque chose d’irrésistible s’était mis en mouvement. Le bric à brac entassé dans la cave avait disparu. Entre les murs souillés de crasse, il n’y avait plus que le souffle de son désir et du mien – un désir aussi fort que ma peur et qui m’ôtait toute envie de lutter. Lorsqu’il a collé son gland à l’entrée de mon vagin, j’ai renoncé à résister. Libérant mes poignets, il me demandait de le guider, et j’ai avancé une main timide, frémi au contact du bâton de chair brûlante. C’était la première fois que je touchais sa verge nue. La surprise et le plaisir m’ont fait gémir quand je l’ai sentie qui pénétrait mon ventre. Mais crispée dans l’attente d’une ...
... souffrance annoncée, je n’osais bouger les reins.
— Détends-toi ! a-t-il soufflé en commençant de courts va-et-vient.
Toute ma sensibilité réfugiée entre mes cuisses, je me suis écartée, brusquement avide d’être pénétrée à fond. Une voix inconnue résonnait dans le local obscur.
— Vas-y, haletait-elle, maintenant !
Rachid a frémi. D’un coup de reins, il a fini de s’enfoncer dans la chair humide de mon vagin. Une sensation sourde, désagréable, se répandait dans mon ventre. Ça n’avait rien à voir avec la douleur redoutée. C’était plutôt une gêne. L’impression que sa bite était devenue énorme et que je ne pourrai la tolérer longtemps.
Après quelques secondes durant lesquelles il a repris souffle et murmuré : « Ça va ? », il s’est mis à bouger en mouvements amples et lents, qui loin d’augmenter ma gêne, me faisaient du bien. Ce frottement excitant de son sexe contre les parois de mon vagin, ce n’était pas encore le plaisir, mais je sentais que je m’en approchais.
En cognant au fond de ma chatte, le gland suscitait une sensation nouvelle, à la fois profonde et ténue, lointaine comme une clarté entrevue au bout d’un très long tunnel. En soupirant, j’ai replié mes jambes pour le sentir mieux. Bien réelle à présent, la jouissance grandissait dans mon ventre. Déjà, je sentais comment je devais bouger pour en prendre une part active et je m’impatientais car cela venait trop lentement.
Rachid, lui, était près de l’orgasme. Je le devinais aux mouvements accélérés de ...