1. En auto stop


    Datte: 22/11/2019, Catégories: Hardcore, Masturbation Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Maui01, Source: xHamster

    Yasmine, coquine beurette, devient la copine d’un jeune bourgeois de Lille. Il arrive à éveiller ses sens… mais pas plus. Comme elle est mordue, elle n’en fait pas un fromage. Mais voilà que chéri s’en va faire un stage à Marseille… et que Yasmine, que ça titille où vous pensez, décide, sur un coup de tête, de le rejoindre en stop ! Ma pauvre mignonne, qu’est-ce que tu vas en faire, des découvertes, chemin faisant… Les voyages forment les jeunesses, pas vrai ? Surtout quand ces jeunesses… ont de jolies fesses ! Sensuelle, Yasmine s’allume comme de l’amadou. Mais c’est ensuite que ça devient vraiment « intéressant »… Quand ça lui monte au cerveau… avant de redescendre ! Elle n’aurait jamais cru, Yasmine, qu’elle était aussi ravagée ! Accrochez-vous, les amis, c’est elle qui conduit maintenant…
    
    Cela faisait un mois que je travaillais chez Fashionista lorsque j’ai fait la connaissance de Pierre. Nous étions le vingt octobre, je m’en souviens car c’était l’anniversaire de ma mère. Je ne lui avais pas encore trouvé de cadeau et j’espérais que nous fermerions à l’heure.
    
    Lorsque à sept heure moins vingt, il est entré dans la boutique en compagnie d’une fille blonde à la mine arrogante, j’ai compris que c’était fichu. Typiquement, c’était la cliente emmerdante. Riche, gâtée, sans considération pour le petit personnel. Depuis un mois, j’en avais tant côtoyé que je pouvais les identifier au premier regard. Endossant mon amabilité professionnelle, j’ai suspendu dans la cabine les ...
    ... trois robes du soir qu’elle voulait essayer. A l’autre bout du magasin, Martine R., occupée avec une femme qui venait pour sa fille, m’a adressé en même temps qu’une moue désolée, un coup d’œil qui m’enjoignait de ne pas bâcler le travail.
    
    — Qu’est-ce que tu en penses, Pierre ?
    
    La blonde était sortie de la cabine. En la voyant si gracieusement moulée dans le fourreau de dentelle à col montant, j’ai eu l’espoir que la vente se ferait vite.
    
    — Vous êtes superbe, ai-je dit en tirant sur le tissu qui plissait un peu à la taille. Cette robe est faite pour vous.
    
    Nous étions toutes deux face au miroir. Mince, la peau diaphane et les cheveux couleur de chanvre, elle me dominait d’une bonne tête.
    
    — Je ne crois pas avoir demandé votre avis ! a-t-elle prononcé avec un regard qui me ****tissait encore.
    
    Mes joues se sont colorées. A l’arrière-plan, le dénommé Pierre m’adressait un sourire empreint de gêne. Grand et large d’épaules, c’était un brun aux yeux bleu de Prusse. Ses cheveux bouclaient autour d’un visage régulier et ouvert, je lui donnais vingt ans – comme à sa compagne.
    
    « Il est sympa, ai-je pensé en tendant deux nouvelles robes à la mijaurée. Qu’est-ce qu’il fiche avec cette pétasse ? ». J’avais eu le tort de regarder ma montre.
    
    — Vous êtes pressée ? Je serais désolée de vous importuner.
    
    Tu parles ! Tout ce qu’elle voulait, c’était me faire gronder par la patronne. La colère a fait battre mon cœur, mais j’ai réussi à me dominer. D’une voix égale, j’ai ...
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