En auto stop
Datte: 22/11/2019,
Catégories:
Hardcore,
Masturbation
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Maui01, Source: xHamster
... par ma mère au Noël dernier indiquaient neuf heures et cinq minutes lorsqu’en secouant toutes ses ferrailles, le tram a pilé devant mon arrêt. J’avais encore un gros quart d’heure de marche pour arriver chez moi. « Merde ! », ai-je soupiré en accélérant l’allure.
Dans cet environnement hostile, l’anxiété, la peur et la culpabilité, émotions et sentiments qui avaient nourri mon enfance et me laissaient une paix relative durant mes heures de boulot, reprenaient le dessus. De loin, j’ai vu mon bloc brillant de toutes ses loupiotes. Telle que je la connaissais, ma mère avait dû ameuter les voisins. Comble de malchance, Rachid et deux de ses potes squattaient l’entrée en buvant des bières.
— Tu sais que ta mère te cherche partout ? a-t-il éructé. La pôv femme ! D’où que tu t’amènes maquillée comme une pute ?
Sans répondre, j’ai écarté son bras tendu, je me suis jetée dans l’escalier, mains sur les oreilles pour ne pas l’entendre crier : « T’es devenue une vraie pétasse depuis que tu bosses chez les bourges. Putain de ta race ! faudra quand même bien qu’on s’explique. »
Rachid avait vingt ans. Nous avions grandi sur le même palier. Quelques mois plus tôt, nous avions flirté puis fait l’amour dans une des nombreuses caves à l’abandon. C’est la curiosité, un désir engendré par ma propre sensualité plutôt qu’un attrait véritable qui m’avait jetée vers lui. En dépit d’une surveillance étroite et d’avertissements répétés, j’étais attirée par les hommes et je désirais faire ...
... l’amour.
Sans expérience du flirt, j’avais éprouvé une surprise vaguement dégoûtée la première fois que la langue de Rachid avait ouvert mes lèvres, mais assez vite, des sensations agréables s’étaient substituées à cet écœurement léger. Quand cette langue me fouillait comme un sexe miniature, mes cuisses s’écartaient, je ne pouvais empêcher mon bassin d’onduler à la rencontre de la verge qui durcissait sous le jean de mon partenaire.
J’aimais la v******e du désir qui le plaquait à moi. Ses grandes mains sèches s’emparaient de mes seins pour les rouler, les pétrir, et ces caresses sans douceur faisaient monter mon excitation. A notre deuxième rencontre, je l’ai laissé relever mon tee-shirt et dégrafer mon soutien-gorge. Fascinée, j’ai regardé sa bouche approcher, puis saisir une de mes pointes sombres. Récemment, mes seins avaient poussé. Les petites mandarines qui me désespéraient avaient cédé la place à des seins suffisamment ronds pour se trouver à l’étroit dans la soie synthétique et la dentelle rose d’un 85 C.
Tandis qu’il les ballottait dans ses mains, je retrouvais en plus intense le plaisir que j’éprouvais à les sentir denses, élastiques et fermes lorsque je les caressais en me lavant. Les violents suçons qu’il leur faisait subir, ses mordillements, m’emplissaient d’un trouble assez puissant pour que je me laisse allonger sans protester sur la pile de sacs à patates qui nous servaient de lit.
Couché sur moi, haletant, Rachid ne s’écartait que pour baisser la ...