1. Lutte des classes


    Datte: 18/11/2019, Catégories: fh, fplusag, inconnu, train, chantage, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Fantasio, Source: Revebebe

    ... l’étais, mais je n’avais pas l’intention de lui répondre tout de suite. Pour l’instant, tout ce qui m’intéressait c’était de continuer à observer ce superbe corps de femme à moitié nu qui s’offrait devant moi, à m’aveugler de la pâleur de ces cuisses dont les chairs roses brillaient au-dessus des bas retenus par un porte jarretelles, et à imaginer les frémissements de sa petite chatte dissimulée sous le mince voile de dentelle de sa petite culotte.
    
    — Je le serai bien plus si vous vous leviez pour me laisser admirer ces superbes dentelles.
    — Et après, qu’est-ce que ce sera ? Je devrai me mettre à poil, vous tailler une pipe, ou vous laisser me sauter peut-être ?
    — Peut-être, mais ça ne dépend pas de moi. Vous avez promis de vous conduire comme la plus agréable des compagnes de voyage, mais je comprendrais parfaitement que vous décidiez d’en rester là et de me quitter à la prochaine étape.
    — Salaud !
    
    Elle s’est levée excédée, pour se dresser devant moi avec une furieuse envie de me gifler. Mais en réalisant que son petit abricot était juste sous mon nez et que je pouvais clairement distinguer les chairs roses et brillantes de ses petites lèvres écrasées sous le voile de dentelle, ma jolie bourgeoise s’est brusquement retournée pour m’offrir l’éblouissant spectacle d’une superbe paire de fesses à la rondeur lunaire et entre lesquelles disparaissait l’étroite ficelle du string.
    
    Elle est restée de longues secondes sans bouger, les mains posées sur les hanches, ses ...
    ... longues jambes gainées de soie tremblant de colère autant que d’excitation, me laissant m’enivrer du superbe paysage qui s’offrait à mes yeux ravis.
    
    — C’est bon là ? Vous vous êtes assez rincé l’œil ?
    — Non. En fait, je n’ai pas eu le temps d’admirer les dentelles qui garnissent ta petite culotte. Tu veux bien te retourner ?
    
    Son arrogance s’est brusquement effacée et c’est un masque d’angoisse qui est venu couvrir son visage lorsqu’Isabelle s’est retournée, lentement, les mains croisées devant son plus précieux trésor, avant de les en écarter pour dévoiler le petit animal, frémissant tout autant que sa maîtresse.
    
    Elle n’avait plus rien de la bourgeoise méprisante qui m’avait accueilli dans le compartiment une heure plus tôt. Elle ressemblait davantage à une petite fille effrayée devant son proviseur, gardant les yeux baissés sur les appétissantes rondeurs de ses seins, et sur mon visage dressé à quelques centimètres de son petit minou.
    
    Elle devinait parfaitement le spectacle qui s’offrait à mes yeux ravis. Elle savait que sa petite culotte était quasiment transparente, qu’elle me permettait d’observer les frémissements de ses chairs brillantes et d’admirer les larmes de plaisir qui s’en écoulaient bien malgré elle. Et plus je le regardais, plus le petit animal tremblait et pleurait d’émotion.
    
    — Tu permets ? J’aimerais admirer ce superbe travail de plus près.
    
    Sans attendre sa réponse, j’ai glissé deux doigts sous le voile de dentelle, l’attirant vers moi et ...
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