1. Lutte des classes


    Datte: 18/11/2019, Catégories: fh, fplusag, inconnu, train, chantage, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Fantasio, Source: Revebebe

    ... répondre « Isabelle », sans jamais cesser de me fusiller du regard.
    
    — Très bien Isabelle, si tu retirais ton chemisier et ta jupe ? J´ai toujours été curieux de découvrir le genre de sous-vêtements que portent les femmes qui voyagent en première. Tu veux bien me montrer ?
    — Je préférerais l’éviter, si ça ne vous dérange pas.
    — Mais bien sûr. Loin de moi l’idée de vouloir t’obliger à faire quoi que ce soit qui aille à l’encontre de tes principes. Nous ne sommes pas encore arrivés à la première étape. Alors si c’est ce que tu veux, tu as encore le temps de préparer tes affaires pendant que je vais trouver le contrôleur.
    — Non ! Attendez.
    
    Je n’ai même pas eu besoin de m’approcher de la porte qu’Isabelle avait déjà commencé à défaire les boutons de son chemisier. Pour la première, je me suis dit que le petit stratagème que j’avais improvisé dans le feu de l’action, allait vraisemblablement se concrétiser. J’avais bien conscience que tout cela n’était pas très élégant, mais je n’en avais rien à faire. D’abord, c’est elle qui avait décidé de me traiter comme un moins que rien, et puis, rien ne l’obligeait à se soumettre à mon petit chantage. Alors, je me suis plongé dans la contemplation du fascinant spectacle qui se déroulait devant moi.
    
    La fière Isabelle avait baissé les yeux tandis qu’elle tirait les pans de son chemisier glissés sous la ceinture de sa jupe afin d’en défaire les derniers boutons et de laisser glisser le fin tissu de soie le long de ses épaules et ...
    ... de ses bras. Elle a relevé les yeux pour me regarder d’un air implorant. Dans ces yeux, j’ai cru lire à la fois la honte, la colère mais aussi une pointe d’excitation que je pouvais également deviner à la raideur de ses tétons compressés dans l’enveloppe de dentelle du soutien-gorge semi-transparent qui dévoilait ses larges aréoles et ses jolis tétons raides comme des noyaux d’olive.
    
    Elle attendait peut-être que je lui demande de poursuivre son effeuillage. Mais j’avais été assez clair il me semble. Et pour l’instant, le spectacle de son admirable paire de seins emballée dans son écrin transparent de couleur chair suffisait amplement à mon bonheur. D’autant que ses deux melons menaçaient de s’échapper de leur prison de dentelle à chaque fois qu’Isabelle inspirait profondément.
    
    Elle était visiblement mal à l’aise, mais je n’avais pas l’intention de l’aider à se détendre. En fait, son inconfort faisait partie du plaisir qu’elle était en train de m’offrir. Et lorsque j’ai plongé mes yeux dans les siens, ce n’était pas pour essayer de la rassurer mais plutôt pour lui rappeler qu’elle n’en avait pas encore fini avec son effeuillage.
    
    Elle a laissé échapper un long soupir avant de défaire le bouton de sa jupe et d’en descendre la fermeture éclair. Puis, soulevant brièvement ses fesses de la banquette, elle a fait glisser le vêtement le long de ses cuisses et de ses jambes pour le ramasser avant qu’il ne s’écrase sur le sol.
    
    — Voilà. J’espère que vous êtes content ?
    
    Je ...
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