Lutte des classes
Datte: 18/11/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
inconnu,
train,
chantage,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Fantasio, Source: Revebebe
... entraînant par la même occasion le sommet de l’étroit triangle entre ses lèvres humides et débordantes de liqueur. J’étais absorbé par la contemplation de ce superbe coquillage qui tremblait de plaisir au contact de mes doigts, lorsqu’on a frappé à la porte.
— Oh mon dieu ! Je… je ne peux pas rester dans cette tenue…
— Ne t’inquiète pas, ce n’est probablement que le contrôleur qui vient s’assurer que tu as toujours l’intention de poursuivre ton voyage. Ne bouge pas, je m’en occupe.
C’était effectivement le contrôleur, et tout en restant planté au milieu de la porte entrouverte, je n’ai pas pu m’empêcher de lui laisser observer furtivement le corps tremblant d’Isabelle, debout face à la fenêtre, préférant nous offrir l’adorable tableau de ses fesses plutôt que d’affronter le regard graveleux du contrôleur.
— Voilà, il ne nous dérangera plus. À moins que tu n’en décides autrement, bien sûr. Que dirais-tu d’un petit verre de whisky ? J’en ai ramené une bouteille d’Ecosse pour mon oncle, mais je suis sûr qu’il ne m’en voudra pas si on l’entame un peu. Qu’en dis-tu ?
— Pourquoi pas…
Elle a toussé longuement après les premières gorgées, mais elle n’a pas tardé à apprécier les saveurs tourbées de ce pur malt de quinze ans d’âge. Et au bout d’une heure, nous discutions librement comme deux compagnons de voyage ayant enfin décidé de socialiser, apparemment indifférents au fait que l’une de nous deux ne soit vêtu que de ses sous-vêtements transparents.
Sous l’effet ...
... du whisky et de la douce chaleur qui régnait dans le compartiment, Isabelle ne semblait plus du tout embarrassée par son exhibition forcée. Elle se tenait assise en tailleur en face de moi, m’offrant la vision enivrante de sa chatte béante dont les lèvres roses débordaient du mince triangle de dentelle. J’avais bien du mal à suivre la conversation, fasciné que j’étais par les brillances irisées qui scintillaient sous le voile transparent de la petite culotte.
— Tu veux que je l’enlève ?
— … Comment ?… euh, oui… si ça ne te dérange pas… et puis, enlève aussi ton soutien tant que tu y es.
Elle s’est relevée en riant, dégrafant son soutien pour libérer ses magnifiques melons pointant fièrement leurs longs tétons dans ma direction. Puis, sans attendre, elle a fait glisser la petite culotte le long de ses longues jambes soyeuses pour la ramasser à ses pieds et me la lancer au visage en éclatant de rire.
Jamais de ma jeune vie d’adulte je ne m’étais senti aussi fier de moi. J’étais parvenu à conquérir cette femme magnifique qui quelques heures plutôt me snobait du haut de sa soi-disant supériorité de nantie et qui à présent, était prête à s’offrir à moi sans aucune retenue.
— Et toi, tu n’as pas envie de te mettre à l’aise ?
Un long frisson m’a parcouru le corps en découvrant ses yeux brillants et son sourire coquin. Ce n’était plus moi qui menais la danse, mais ma belle bourgeoise qui, sans que je ne m’en sois vraiment rendu compte, s’était soudain transformée en ...