Sex-shop et peinture ; cherchez l'erreur
Datte: 15/11/2019,
Catégories:
fhh,
2couples,
couplus,
piscine,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
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entrecoup,
extraconj,
Auteur: RobertAnne62, Source: Revebebe
... propre plaisir. Pas de doute, elle l’aime. Elle est prête à tout pour lui.
Récit de Philippe
La salope. Me faire cela. Avec un inconnu. Un vieux. Un moche bedonnant. Si on ne m’avait pas annulé ce rendez-vous pour cause de pont, je n’aurais peut-être jamais su que j’étais cocu.
Cocu trois fois. Dans mon lit. Par un vieux moche et je crois ce qui me fait le plus mal, par le cul. Car, alors que je revenais bien plus tôt que prévu et que je suis monté à l’étage, tout surpris de ne rencontrer personne en bas, ni ma femme, ni le peintre, je les ai surpris dans la chambre. Elle, nue, à quatre pattes sur le lit. Lui, encore en chaussettes, les couilles à l’air avec son sexe qui disparaissait entre les fesses de ma femme. Oui, par le cul alors que je n’avais droit que très rarement à le faire, malgré mes demandes pressantes. « Je vais avoir mal. C’est pas propre. C’est pas naturel, etc. »
Un moment je suis resté scotché, pensant à un mauvais rêve. Mais non, c’était vrai. La voir dans cette position, offerte, ses deux mains écartant ses fesses pour que son amant trouve le chemin plus facile. Et cette voix, rauque, vulgaire, impatiente.
— Allez, encule-moi. Crache sur mon œillet. Après je te sucerai et tu jouiras dans ma bouche.
Le spectacle était trop insupportable. J’ai pensé les tuer. Je suis redescendu pour prendre une arme, un marteau, un couteau, que sais-je ? Heureusement, je me suis calmé. Et une idée me vient. Cette tine de peinture, ouverte, à peine ...
... entamée, 15 à 20 litres. Cette couleur, presque rouge que je n’ai accepté qu’à regrets. Je m’en empare, remonte à l’étage, pousse un peu plus la porte de la chambre et, sans qu’ils m’entendent arriver, je la renverse sur les deux corps soudés. La surprise est totale. Je m’offre même le luxe de laisser le pot sur la tête de l’homme.
Et je suis parti. Depuis, je roule sans but, oscillant entre la honte de mon cocufiage et le plaisir de les imaginer englués dans la peinture. En plus, c’est elle qui a voulu de la peinture « comme avant, pas à l’eau ». Bon courage pour enlever tout cela. De temps en temps mon portable sonne. C’est elle.
J’ai roulé pendant, trois, quatre heures lorsque ma voiture tombe en panne. En fait, je suis en panne sèche, n’ayant pas pensé un instant à regarder la jauge. Il fait nuit. Au milieu de nulle part. Ironie du sort, le signal ne passe pas. Je décide d’essayer de joindre les lumières que je vois plus haut sur la colline. Je sonne. On m’ouvre. Je demande de l’aide, de l’essence. Ils n’en ont pas. Je vais repartir. « Mais non, restez. Vous avez l’air épuisé. » J’accepte. On me sert une collation que je touche à peine. Ombre parmi ces gens. Je me retire très vite dans ma chambre.
Trois heures du matin et je ne dors toujours pas. Je n’arrive pas à me calmer. La maison est silencieuse. La piscine, mais oui, voilà la solution. Je descends sans bruit. Je n’ai pas de maillot, mais à cette heure qui verra que je suis nu. Je ne plonge pas pour éviter de ...