1. Sex-shop et peinture ; cherchez l'erreur


    Datte: 15/11/2019, Catégories: fhh, 2couples, couplus, piscine, intermast, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, entrecoup, extraconj, Auteur: RobertAnne62, Source: Revebebe

    ... seconde suivante deux mains humides se saisissent de mes cuisses, les forçant à s’ouvrir encore plus. Son visage plonge et une langue curieuse explore mon intimité.
    
    — Allez Chéri, occupe-toi de la sœur.
    
    Mari et femme nous gouinent la chatte. Seule la tête et les épaules sortent de l’eau. C’est bon de se faire sucer par une femme. Sa langue est si active que l’on dirait un serpent qui frétille entre mes cuisses. Je remonte mes pieds sur le bord de la piscine, m’incline en arrière et, prenant appui sur mes bras, je peux m’offrir encore plus à ses caresses. Elle m’explore du nombril à la chute des reins laissant de grandes traînées de salive.
    
    Le mari a l’air de bien se débrouiller avec ma sœur car elle l’encourage avec de petits cris, des « oui » qui le guident là où elle veut.
    
    La femme m’abandonne un instant et je vais protester, quand elle dit :
    
    — Il bande. Décidemment Chéri, elles te font de l’effet. Viens.
    
    Ils nous abandonnent et elle l’entraîne hors de la piscine.
    
    — Venez, allons nous installer plus confortablement.
    
    Sur un geste, comme si c’était naturel, elle fait allonger son mari sur un matelas. Anne s’approche mais la femme l’arrête.
    
    — Attends, je vais te le préparer.
    
    Et elle se penche pour prendre le sexe en bouche. La verge déjà bien gonflée disparaît totalement. Elle la suce, la lèche, l’enduit de salive et, quelques instants plus tard, c’est un pieu rigide et droit qu’elle libère. Comme elle se recule, Anne, impatiente, enjambe ...
    ... l’homme pour le chevaucher et dans un même mouvement, pour venir s’empaler sur la bite. Je connais ma sœur, les caresses du mari l’ont échauffée et maintenant, il lui faut du concret. Aussi elle ne tarde pas à se lancer dans une ondulation du bassin pour apprécier le sexe qui la possède.
    
    La femme me pousse sur un matelas juste à côté pour me faire asseoir. Elle s’installe face à moi, dans la même position, et amène son sexe contre le mien. Je la laisse faire et mener la danse, m’efforçant seulement de ne pas reculer sous la douce pression de son intimité contre la mienne. C’est bon et je ne tarde pas à ressentir cette chaleur qui annonce la jouissance.
    
    Sa respiration s’accélère. Ses yeux ne quittent plus le sexe de son mari qui entre et sort du vagin de ma sœur. Anne n’est pas égoïste et, si elle cherche son plaisir, elle n’oublie pas l’homme, notre banquier, qu’elle veut mener aussi à la jouissance. Tous deux rivalisent de gémissements. Un cri plus fort. Il jouit. Encore une fois, on peut imaginer le sperme jaillir, inonder la grotte déjà bien pleine de la queue qui gonfle encore. Anne continue de monter et descendre sur le pieu qui laisse maintenant s’écouler le sperme en filets humides et gluants qui tendent des fils entre eux. C’est le moment que choisit la femme pour crier sa satisfaction et se finir avec la main. C’est une cérébrale. Elle aime voir une autre femme prise et conquise par la queue de son mari et le sperme qu’il crache dans le con sert de déclencheur à son ...
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